en n'avait que en lorsqu'un gentleman d'Abilene (Texas),
fit le 1er signalement d'ovni de l'année. Ce qu'il vit, une lueur en forme de ventilateur
dans le ciel, was
insignificant as far as UFO reports go, but it ushered in a year that was to bring feverish activity to Projet Sign.
Avec les soviétiquement pratiquement éliminés comme source des ovnis, l'diée de vaisseaux interplanetaires devenait plus populaire. Durant en les gens de l'ATIC discutaient ouvertement de la possibilité de visiteurs interplanétaires sans que d'autres se tappent la tête et jettent un regard suffisant. Durant en la nouveauté des ovnis s'était dissipée pour la presse et tout les John et Jane Doe qui en avaient vu un ne faisaient pas la Une comme en . Les rédacteurs se durcissaient, et seuls quelques-uns des meilleurs rapports recevaient un peu d'espace. Seuls les "classiques" métiraient les titres. "Les Classiques" étaient 3 signalements historiques qui furent points culminants de en . On les appelle "les classiques", un nom qui leur fut donné par l'équipe du Projet Blue Book, parce que :
Le manque d'intérêt apparent de la presse pour les signalements d'ovnis n'était pas une indication réelle de la
situation. Je découvris plus tard, en parlant aux rédacteurs, que pendant tout en l'intérêt pour les
ovnis était élevée. Le Bureau de Presse de l'Air Force au Pentagone était constamment interrogé sur les progrès qui étaient
faits dans l'enquête sur les ovnis. La réponse était : Donnez-nous du temps. Ce travail ne peut être fait en 1
semaine
. La presse respectait cela et leur donnait du temps. Mais chaque rédacteur worth his salt avait des
contacts, ces sources généralement fiables
dont vous entendez parler, et ces contacts parlaient. Pendant tout
en des contacts au Pentagone racontaient comment
les rapports d'ovnis arrivaient au rythme de plusieurs par jour et comment les équipes d'enquête sur les ovnis de l'ATIC décollaient de Dayton pour partir enquêter dessus. Ils disaient
comment une autre organisation d'enquête de l'Air Force avait été appelée pour
allèger la charge de l'ATIC et lui permettre de se concentrate sur
l'analyse des rapports. Les rédacteurs savaient que c'était vrai parce qu'ils avaient croisés ces hommes, qu'il
avaient identifié à tort comme des agents du FBI. Le FBI ne fut jamais officiellement intéressé par les observations d'ovnis. Les
contacts des rédacteurs dans l'industrie des lignes aériennes parlèrent du UFO talk from V. P.'s down to the ramp
boys. Des douzaines de bons pilotes de ligne, solides, fiables et expérimentés voyaient des ovnis. Tout ceci mena à
une conclusion : quoi que l'Air Force avait à dire, lorsqu'elle sera prête à
parler, sera intéressant pour la presse. Mais l'Air Force n'était pas prête à
parler.
Le personnel du Projet Sign venait juste de s'atteler au travail après le congé du Jour de l'An lorsque les "fusées fantômes" revinrent dans les pays scandinaves de l'Europe. Les attachés de l'Air en Suède, Danemark et Norvège envoyèrent des câbles à l'ATIC parlant des rapports. Les câbles revinrent demandant plus d'informations.
Les "fusées fantômes", comme elles furent étiquetées par les journaux, avaient été observées en 1er à l'été en , 1 an avant la 1ʳᵉ observation d'ovni aux U.S. Il y avait de nombreuses descriptions différentes des objets signalésfor . Ils étaient généralement vus dans les heures d'obscurité et presque toujours voyageait à des vitesses extrêmement élevées. Ils avaient la forme d'une boule ou d'un projectile, étaient d'un vert, blanc, rouge ou jaune brillant et laissaient parfois entendre des sons. Comme leurs cousins américains, ils étaient toujours si éloignés qu'aucun détail ne pouvait être vu. Pour aucune bonne raison, autre que de la spéculation et de la circulation, les journaux avaient rapidement commencé à faire d'autorité référence à ces "fusées fantômes" comme étant des missiles guidés, et impliquaient qu'elles venaient de Russie. Peenemunde, le grand centre de développement de missile allemand et lieu de naissance du V-2 et des missiles guidés V-2, arriva pour sa part de suspicion puisqu'il était détenu par les Russes. A la fin de l'été en les rapports étaient largement diffusés, venant du Danemark, de la Norvège, de l'Espagne, de la Grèce, du Maroc français, du Portugal et de la Turquie. En en , après qu'aucune conclusion définie quant à l'identité des "fusées" n'a été établie, les rapports s'éteignirent. Maintenant au début de en ils éclatèrent à nouveau. Mais le personnel du Projet Sign était trop occupé à se préoccuper des rapports d'ovnis européens, ils étaient occupés chez eux. Un pilote de la garde nationale venait juste d'être tué en pourchassant un ovni.
Le 7 janvier tous les journaux late aux U.S. carried des titres semblables à ceux du Courrier de Louisville : Un
F-51 et le Capt. Mantell Détruits en Pourchassant une Soucoupe Volante.
Ce fut le volume 1 des "Classiques", l'incident de Mantell.
A 13:15 cet après-midi les opérateurs de la tour de contrôle de la base aérienne de Godman, à l'extérieur de
Louisville, dans le Kentucky, reçurent un appel téléphonique de la Patrouille Routière de l'Etat du Kentucky. La
patrouille voulait savoir si la Tour de Godman savait quelque chose à propos d'un appareil inhabituel dans le
voisinage. Plusieurs personnes de Maysville, dans le Kentucky, une petite ville à 80 miles à l'est de Louisville,
avaient signalé avoir vu un appareil étrange. Godman savait qu'ils n'avaient rien dans les environs et appelèrent donc
le Service de Vol à la base aérienne de Wright-Patterson. En
quelques minutes le Service de Vol rappella. Leur tableau de contrôle du traffic aérien ne montrait aucun vol dans la
région. Environ 20 mn plus tard la police d'état appela à nouveau. Cette fois des gens des villes d'Owensboro et
d'Irvington, dans le Kentucky, à l'ouest de Louisville, signalaient un appareil étrange. Le signalement de ces 2
villes était un peu plus complet. Les gens des villes avaient décrit l'objet à la police d'état comme étant circulaire,
d'environ 250 à 300 pieds de diamètre
et se déplaçant vers l'ouest à a pretty good clip.
La tour de
Godman vérifia auprès du Service de Vol à nouveau. Rien. Pendant tout ce temps les opérateurs de la tour avaient
cherché l'objet signalé. Ils firent la théorie que puisque l'ovni avait dû passer au nord de Godman pour aller de
Maysville à Owensboro, il pourrait revenir.
A 13:45 ils le virent, ou quelque chose qui lui ressemblait. Par la suite, dans son rapport officiel, l'opérateur
assistant de la tour dira avoir vu l'objet pendant plusieurs minutes d'attirer l'attention de ses supérieurs dessus.
Il dit avoir eut des réticences à faire un signalement de soucoupe volante.
Dès que les 2 hommes dans la tour
se furent assurés que l'ovni qu'ils avaient vu n'était pas un avion ou un ballon-sonde, ils appelèrent les Opérations de Vol. Ils
voulurent que l'officier des opérations voie l'ovni. Rapidement le mot circule sur l'observation auprès de personnel
clé sur la base et plusieurs officiers, aux côtés de l'officier des opérations de la base et de l'officier du
renseignement de la base, se trouvaient dans la tour. Tous regardaient l'ovni à travers les jumelles 6 x 50 de la tour
et décidèrent qu'ils ne pouvaient l'identifier. C'est à peu près à ce moment que le colonel Hix, commandant de la
base, est arrivé. Il regardait et était dérouté. A 14 h 30, rapportèrent-ils, ils discutaient de ce qu'il convenait de
faire alors que 4 appareils F-51 arrivaient, approchant le base par le sud.
La tour appela le leader de vol, le capitaine Mantell, et lui demanda de jetter un œil à l'objet et d'essayer de l'identifier. Un F-51 dans le vol manquait de carburant, et demanda donc la permission se partir à sa base. Mantell prit ses 2 aviateurs restants, fit un virage, et commença se mettre après l'ovni. Les gens dans la tour de Godman le dirigeaient alors qu'aucun des pilotes ne pouvait voir l'objet à ce moment. Ils donnèrent à Mantell une direction initiale vers le sud et le vol fut vu pour la dernière fois dans la direction générale de l'ovni.
Au moment où le F-51 était monté à 10000 pieds, rapporteront plus tard les 2 aviateurs, Mantell s'était avancé devant eux et ils ne pouvaient plus que le distinguer difficilement. A
02:45 Mantell appela la tour et dit : Je vois quelque chose au-dessus et devant moi et
je monte toujours.
Tous les gens dans la tour entendirent Mantell dire cela et
entendirent 1 des aviateurs rappeler et demander : Que diable cherchons-nous ?
La tour appela immédiatement
Mantell et lui demanda une description de ce qu'il voyait. Aussi étrange que cela puisse
paraître, personne ne peut se souvenir exactement de ce qu'il répondit. Les historiens des soucoupes lui accordèrent
les paroles suivantes : J'ai observé la chose. Ça a l'air métallique et c'est d'une taille énorme... Maintenant ça
commence à monter.
Puis en quelques secondes, il est supposé avoir appelé et dit : C'est au-dessus de moi et
je m'en rapproche. J'arrive à 20000 pieds.
Chacun dans la tour s'accorda sur cette dernière bribe de la
transmission : J'arrive à 20000 pieds,
mais se s'accordèrent pas sur la 1ʳᵉ partie, sur l'ovni étant
métallique et énorme.
Les 2 aviateurs étaient maintenant à 15 000 pieds et tentaient de manière effrénée d'appeler Mantell. Il était monté bien au-dessus d'eux à ce moment-là et était hors de vue. Aucun d'entre eux n'ayant d'oxygène, ils s'inquiétaient pour Mantell. Leurs appels furent sans réponse. Mantell ne parla plus jamais à personne. Les 2 aviateurs se stabilisèrent à 15 000 pieds, firent un autre effort en vain pour appeler Mantell, et commençèrent à redescendre. Alors qu'ils dépassaient la tour de Godman sur le chemin du retour à leur base, 1 d'entre eux dit que tout ce qu'il avait vu était un reflet sur sa verrière.
Lorsqu'ils atterrirent à leur base, Standiford Field, juste au nord de Godman, 1 pilote fit ravitailler en carburant son F-51, se fit fournir en oxygène, et décolla pour chercher dans la zone à nouveau. Il ne vit rien du tout.
À 15:15 la tour perdit l'ovni de vue. Quelques minutes plus tard il eurent le mot que Mantell s'était écrasé et était mort.
Plusieurs heures plus tard, à 19:20, les tours des terrains d'aviations dans tout le Midwest envoyèrent des signalements effrénés d'un autre ovni. En tout près d'une douzaine de tours de terrains d'aviations rapportèrent que l'ovni était bas sur l'horizon sud-ouest et disparût après 20 mn environ. Les auteurs de folklore de soucoupes dirent que cet ovni était ce que pourchassait Mantell lorsqu'il mourut ; l'Air Force dit que cet ovni était Vénus.
Les gens du projet Sign travaillèrent rapidement sur l'incident Mantell. Contemplant un flot de demandes de la presse alors qu'ils avaient entendu parler du crash, ils réalisèrent qu'ils devaient trouver une réponse au plus vite. Vénus avait été la cible d'une chasse par un F-51 de l'Air Force plusieurs semaines auparavant et il y avait des similarités entre cette observation l'incident Mantell. Donc presque avant que les équipes de secours aient atteint le crash, le mot "Vénus" était sorti. Cela satisfaisait les éditeurs, et cela resta ainsi pendant 1 an environ ; Mantell avait malencontreusement été tué en essayant d'atteindre la planète Vénus.
Pour la presse, la manière nonchalante, offhand avec laquelle l'observation avait été written off par l'officier des
relations publiques de l'Air Force montrait une grande confiance dans la conclusion, Vénus, mais derrière la barrière de barbelé qui entourait l'ATIC l'attitude nonchalante n'existait pas parmi les analystes en
renseignement. Un homme était déjà parti pour Louisville et le reste faisait de hautes spéculations. L'histoire de la
conversation de la tour aux avions, ça a l'air métallique et c'est énorme,
se répandait vite. La rumeur
courrait que la tour avait poursuivi sur une had conversation prolongée avec les pilotes et qu'il y avait plus
d'informations que n'en étaient connues jusqu'ici. La rumeur disait aussi que cette conversation avait été
enregistrée. Malheureusement aucune de ces rumeurs n'était vraie.
Sur une période de plusieurs semaines le dossier de l'incident Mantell grandit de taille jusqu'à être l'observation ayant fait l'objet de l'enquête la plus approfondie à cette époque, ou du moins ayant le dossier le plus épais.
Environ 1 an plus tard l'Air Force diffusa son rapport officiel sur
l'incident. Pour utiliser un terme trivial, c'était un chef d'œuvre dans l'art du weasel wording
. Cela disait
que l'ovni aurait pu avoir été Vénus ou que cela aurait pu avoir
été un ballon. Peut-être 2 ballons. C'était probablement Vénus sauf que c'était douteux parce que Vénus était trop faible pour être vue dans l'après-midi. Ceci jolted
les auteurs qui avaient suivi l'histoire d'ovni. Quelques semaines auparavant seulement, le Saturday Evening
Post avait publié une histoire en 2 parties intitulée Ce que vous pouvez croire sur les soucoupes
volantes. Le récit had official sanction et avait cité la théorie de Vénus comme une solution affirmative. To clear up the situation,
plusieurs auteurs furent autorisés à interroger un major au Pentagone, qui était l'"expert" en ovnis de l'Air Force au Pentagone. Le
major fut interrogé directement sur la conclusion de l'incident
Mantell, et répondit platement qu'il s'agissait de Vénus. Les
auteurs mirent en avant l'analyse officielle de l'Air Force. La réponse du major fut : Ils ont revérifié et c'était Vénus.
Il ne savait qui "ils" étaient, où ils avaient vérifié,
ou ce qu'ils avaient vérifié, mais c'était Vénus. Les auteurs demandèrent alors : S'il y avait un rapport
ultérieur qu'ils avaient fait, pourquoi ne fut-il pas utilisé comme conclusion ?
Etait-il indisponible ?
La réponse à la dernière question fut : Non,
et le couvercle se referma. Cette interview donna l'impression
définie que l'Air Force n'arrivait pas à dissimuler des informations très importantes, utilisant Vénus en avant-plan. Rien n'excite plus un auteur de journal ou de
magazine que de penser qu'il est tombé sur une grosse histoire et que quelqu'un tente de la dissimuler. De nombreux
auteurs pensèrent ceci après l'interview avec le major, et de nombreux le pensent toujours. Vous ne pouvez en blâmer
aucun.
Début en j'eus un appel téléphonique sur la ligne directe de l'ATIC au Pentagone. C'était un colonel dans le bureau du Directeur du Renseignement. Le Bureau des Relations Publiques recevait un certain nombre de demandes touchant à toute la confusion sur l'incident Mantell. Quelle était la réponse ?
Je déterrais le dossier. en l'ensemble des éléments d'origine sur l'incident avaient été mis sous microfilm, mais quelque chose avait été renversé sur le film. De nombreuses sections étaient si salement atténuées qu'elles étaient illisibles. Comme j'avais eut à le faire avec nombre des observations plus anciennes qui étaient maintenant de l'histoire, je recueillais ce que je pouvais du dossier, remplissant les blancs en parlant aux gens qui avaient été à l'ATIC au début de l'époque des ovnis. Nombre de ces personnes étaient toujours dans les environs, "Red" Honnacker, George Towles, Al Deyarmond, Nick Post, et de nombreux autres. La plupart d'entre eux étaient civils, les militaires avaient été transferrés out à cette époque.
Certaines des coupûres de presses dans les dossiers mentionnaient le major du Pentagone et sa preuve concrête de Vénus. Je ne pu trouver cette preuve concrête dans le dossier et
cherchais donc à contacter le major alentours. Le major, découvris-je, était un officier au Pentagone qui avait à une époque écrit une courte synthèse de
renseignement sur les ovnis. Il n'avait jamais été basé à l'ATIC, pas
plus qu'il n'était particulièrement bien versé dans le problème des ovnis. When the word of the press conference
regarding l'incident Mantell Incident came down, a UFO
expert was needed. The major, because of his short intelligence summary on UFO's, became the "expert." He had
evidently conjured up "they" and their later report
to support his Vénus answer because the writers at the press conference had him in
a corner. I looked farther.
Heureusement l'homme qui avait réalisé le travail le plus abouti sur l'incident, le Dr. J. Allen Hynek, directeur du Département d'Astronomie de l'Université de l'Etat d'Ohio, pouvait être contacté. J'appelais le Dr. Hynek et arrangeais de le rencontrer le jour suivant.
Le Dr. Hynek fut l'un des scientifiques les plus impressionnants que j'aie rencontré en travaillant sur le projet ovni, et j'en ai rencontré un bon nombre. Il évita de faire 2 choses que certains d'entre eux faisaient : vous donner la réponse avant de connaître la question ; ou immédiatement commencer à exposer ses accomplissements dans le domaine de la science. J'arrivais dans l'état d'Ohio juste avant de déjeûner, et le Dr. Hynek m'invita à manger avec lui au club de la faculté. Il voulait se référer à des notes qu'il avait concernant l'incident Mantell mais elles étaient dans son bureau ; nous avons donc discuté des ovnis en général pendant le déjeûner.
De retour à son bureau il commença à passer en revue l'incident Mantell. Il avait été responsable du rapport weasel worded que l'Air Force avait diffusé fin en , et s'en excusa. S'il avait su que cela allait causer tant de confusion, dit-il, il aurait été plus spécifique. Il pensait que l'incident était a dead issue. La raison pour laquelle Vénus avait été fortement suspectée était qu'il s'agissait pratiquement du même point dans le ciel que l'ovni. Le Dr. Hynek se réferra à ses notes et me dit qu'à 15:00, Vénus était au sud-sud-ouest de Godman et 33 ° au-dessus de l'horizon sud. À 15:00 les gens dans la tour estimèrent que l'ovni se trouvait au sud-ouest de Godman et à une élévation de 45° environ. En imaginant une erreur humaine dans l'estimation des directions et des angles, c'était proche. J'étais d'accord. Il y avait une grande faille dans la théorie, cependant. Vénus n'était pas assez brillante pour être vue. Il avait calculé la brillance de la planète, et le jour en question il n'était que 6 fois plus brillante que le ciel environnant. Il expliqua alors ce que cela signifiait. 6 fois pourrait sembler beaucoup, mais ça ne l'est pas. Quand vous commencer à regarder une tête d'épingle de lumière seulement 6 fois plus brillante que le ciel environnant, il est presque impossible de la trouver, même par un jour clair.
Le docteur Hynek dit qu'il ne pensait pas que l'ovni était Vénus.
Je découvris plus tard que bien qu'il ait s'agit d'un jour relativement clair il y avait une brume considérable.
Je lui posais la question des autres possibilités. Il répéta le ballon, un reflet sur la verrière et des théories de faux soleil mais se refusa à commenter dessus puisque, comme il le disait, il était astrophysicien et voulais s'attacher à ne commenter que les aspects astronomiques des observations.
Je retournais en voiture à Dayton convaincu que l'ovni n'était pas Vénus. Le docteur Hynek avait dit que Vénus aurait été une tête d'épingle de lumière. Les gens dans la tour
avaient été affirmatifs sur leurs descriptions, leurs déclarations brought that out. Ils n'avaient pu s'accorder sur
une description, ils appelaient l'ovni un parachute, un cornet de glace tipped avec du rouge,
rond et
blanc
, énorme et argenté ou métallique
, un petit objet blanc
, 1/4 de la taille de la pleine Lune
, mais toutes les descriptions indiquent
clairement un grand objet. Aucune des descriptions ne pourrait même vaguement être appelée une tête d'épingle de
lumière.
Cet aspect d'une forme définie semblait aussi éliminer la théorie du faux soleil. Des faux soleils, ou périhélies, comme on les appelle techniquement, sont causées par des particules de glace reflétant un lumière diffuse. Cela ne donnerait pas une silhouette précise. Je me souvins aussi de 2 cas où des pilotes de l'Air Force avaient pris en chasse des faux soleils. Dans les 2 cas lorsque les appareils commençèrent à grimper, le faux soleil disparût. Ceci en raison de l'angle de réflexion qui changea alors que l'avion montait de plusieurs milliers de pieds. Ces ovnis provoqués par des faux-soleils ont également des bords flous.
J'ai toujours entendu beaucoup de spéculations sauvages sur les conditions du F-51 écrasé de Mantell, so I wired for a copy of the accident report. It arrived several days after my visit with Dr. Hynek. The report said that the F-51 had lost a wing due to excessive speed in a dive after Mantell had "blacked out" due to the lack of oxygen. Le corps de Mantell n'était pas brûlé, pas désintégré, et n'était pas plein de trous ; l'épave n'était pas radioactive, ni magnétisée.
One very important and pertinent question remained. Why did Mantell, an experienced pilot, try to go to 20 000 feet
when he didn't even have an oxygen mask? If he had run out of oxygen, it would have been different. Every pilot and
crewman has it pounded into him, Do not, under any circumstances, go above 15 000 pieds sans oxygène.
In high
altitude indoctrination during World War II, I made several trips up to 30 000 feet in a pressure chamber. To
demonstrate anoxia we would leave our oxygen masks off until we became dizzy. A few of the more hardy souls could get
to 15 000 feet, but nobody ever got over 17 000. Possibly Mantell thought he could climb up to 20 000 in a hurry and
get back down before he got anoxia and blacked out, but this would be a foolish chance. This point was covered in the
sighting report. A long-time friend of Mantell's went on record as saying that he'd flown
with him several years and knew him personally. He couldn't conceive of Mantell's even thinking about disregarding his
lack of oxygen. Mantell was one of the most cautious pilots he knew. The only thing I can think
, he commented,
was that he was after something that he believed to be more important than his life or his family.
My next step was to try to find out what Mantell's wing men had seen or thought but this was a blind alley. All of this evidence was in the ruined portion of the microfilm, even their names were missing. The only reference I could find to them was a vague passage indicating they hadn't seen anything.
I concentrated on the canopy reflection theory. It is widely believed that many flying saucers appear to pilots who are actually chasing a reflection on their canopy. I checked over all the reports we had on file. I couldn't find one that had been written off for this reason. I dug back into my own flying experience and talked to a dozen pilots. All of us had momentarily been startled by a reflection on the aircraft's canopy or wing, but in a second or two it had been obvious that it was a reflection. Mantell chased the object for at least fifteen to twenty minutes, and it is inconceivable that he wouldn't realize in that length of time that he was chasing a reflection.
About the only theory left to check was that the object might have been one of the big, 100-foot-diameter, "skyhook" balloons. I rechecked the descriptions of the UFO made by the people in the tower. The first man to sight the object called it a parachute; others said ice cream cone, round, etc. All of these descriptions fit a balloon. Buried deep in the file were two more references to balloons that I had previously missed. Not long after the object had disappeared from view at Godman AFB, a man from Madisonville, Kentucky, called Flight Service in Dayton. He had seen an object traveling southeast. He had looked at it through a telescope and it was a balloon. At four forty five an astronomer living north of Nashville, Tennessee, called in. He had also seen a UFO, looked at it through a telescope, and it was a balloon.
In the thousands of words of testimony and evidence taken on the Mantell Incident this was the only reference to balloons. I had purposely not paid too much attention to this possibility because I was sure that it had been thoroughly checked back in en . Now I wasn't sure.
I talked with one of the people who had been in on the Mantell investigation. The possibility of a balloon's causing the sighting had been mentioned but hadn't been followed up for two reasons. Number one was that everybody at ATIC was convinced that the object Mantell was after was a spaceship and that this was the only course they had pursued. When the sighting grew older and no spaceship proof could be found, everybody jumped on the Venus band wagon, as this theory had "already been established." It was an easy way out. The second reason was that a quick check had been made on weather balloons and none were in the area. The big skyhook balloon project was highly classified at that time, and since they were all convinced that the object was of interplanetary origin (a minority wanted to give the Russians credit), they didn't want to bother to buck the red tape of security to get data on skyhook flights.
The group who supervise the contracts for all the skyhook research flights for the Air Force are located at Wright Field, so I called them. They had no records on flights in 1948 but they did think that the big balloons were being launched from Clinton County AFB in southern Ohio at that time. They offered to get the records of the winds on January 7 and see what flight path a balloon launched in southwestern Ohio would have taken. In a few days they had the data for me.
Unfortunately the times of the first sightings, from the towns outside Louisville, were not exact but it was possible to partially reconstruct the sequence of events. The winds were such that a skyhook balloon launched from Clinton County AFB could be seen from the town east of Godman AFB, the town from which the first UFO was reported to the Kentucky State Police. It is not unusual to be able to see a large balloon for 50 to 60 miles. The balloon could have traveled west for a while, climbing as it moved with the strong east winds that were blowing that day and picking up speed as the winds got stronger at altitude. In twenty minutes it could have been in a position where it could be seen from Owensboro and Irvington, Kentucky, the two towns west of Godman. The second reports to the state police had come from these two towns. Still climbing, the balloon would have reached a level where a strong wind was blowing in a southerly direction. The jet stream winds were not being plotted in 1948 but the weather chart shows strong indications of a southerly bend in the jet stream for this day. Jet stream or not, the balloon would have moved rapidly south, still climbing. At a point somewhere south or southwest of Godman it would have climbed through the southerly moving winds to a calm belt at about 60,000 feet. At this level it would slowly drift south or southeast. A skyhook balloon can be seen at 60,000.
When first seen by the people in Godinan Tower, the UFO was south of the air base. It was relatively close and looked
"like a parachute," which a balloon does. During the two hours that it was in sight, the observers reported that it
seemed to hover, yet each observer estimated the time he looked at the object through the binoculars and time wise the
descriptions ran huge
, small
, one fourth the size of a full moon
, one tenth the size of a full
moon.
Whatever the UFO was, it was slowly moving away. As the balloon continued to drift in a southerly
direction it would have picked up stronger winds, and could have easily been seen by the astronomers in Madisonville,
Kentucky, and north of Nashville an hour after it disappeared from view at Godman.
Somewhere in the archives of the Air Force or the Navy there are records that will show whether or not a balloon was launched from Clinton County AFB, Ohio, on le . I never could find these records. People who were working with the early skyhook projects "remember" operating out of Clinton County AFB in 1947 but refuse to be pinned down to a January 7 flight. Maybe, they said.
The Mantell Incident is the same old UFO jigsaw puzzle. By assuming the shape of one piece, a balloon launched from southwestern Ohio, the whole picture neatly falls together. It shows a huge balloon that Captain Thomas Mantell died trying to reach. He didn't know that he was chasing a balloon because he had never heard of a huge, 100-foot-diameter skyhook balloon, let alone seen one. Leave out the one piece of the jigsaw puzzle and the picture is a UFO, "metallic and tremendous in size."
Cela avait pu être un ballon. C'est la réponse que je phoned back to the Pentagone.
Durant en et en les signalements de "fusées fantômes" continuèrent à venir d'attachés de l'air
dans les pays étrangers près de la Mer Baltique. Des gens dans la Jutland du Nord, la Norvège, le Danemark, la Suède
et l'Allemagne signalaient des boules de feu voyageant lentement à travers le ciel
. Les signalements étaient
très peu prècis et incomplets, la plupart d'entre eux des récits de journaux. En quelques jours les ovnis étaient vu à
travers toute l'Europe et l'Amérique du Sud. Les signalements à l'étranger atteignirent un pic dans la dernière partie
de février et les journaux U.S. commençèrent à reprendre les histoires.
L'Etat-Major de la Défense Suédoise aurait mené une étude complète des incidents et conclut qu'ils étaient tous explicables en termes de phénomènes astronomiques. Comme il s'agissait de l'histoire des ovnis, je fis plusieurs tentatives pour obtenir des informations détaillées et officielles sur ce rapport et les observations, mais jamais avec succès.
Les fusées fantômes disparûrent en mars, aussi mystérieusement qu'elles étaient arrivées.
All during the spring of en good reports continued to come in. Some were just run-of-the-mill but a
large percentage of them were good, coming from people whose reliability couldn't be questioned. For example, three
scientists reported that for thirty seconds they had watched a round object streak across the sky in a highly erratic
flight path near the Army's secret White Sands Proving Ground. And on May 28 the crew of an Air Force C-47 had three
UFO's barrel in from twelve o'clock high
to buzz their transport,
On July 21 a curious report was received from the Netherlands, The day before several persons reported seeing a UFO through high broken clouds over The Hague. The object was rocket shaped, with two rows of windows along the side. It was a poor report, very sketchy and incomplete, and it probably would have been forgotten except that four nights later a similar UFO almost collided with an Eastern Airlines DC-3. This near collision is Volume II of "The Classics."
On the evening of le , an Eastern Airlines DC-3 took off from Houston, Texas. It was on a scheduled trip to Atlanta, with intermediate stops in between. The pilots were Clarence S. Chiles and John B. Whitted. At about 2:45 A.M., when the flight was 20 miles southwest of Montgomery, the captain, Chiles, saw a light dead ahead and closing fast. His first reaction, he later reported to an ATIC investigation team, was that it was a jet, but in an instant he realized that even a jet couldn't close as fast as this light was closing. Chiles said he reached over, gave Whitted, the other pilot, a quick tap on the arm, and pointed. The UFO was now almost on top of them. Chiles racked the DC-3 into a tight left turn. Just as the UFO flashed by about 700 feet to the right, the DC-3 hit turbulent air. Whitted looked back just as the UFO pulled up in a steep climb.
Both the pilots had gotten a good look at the UFO and were able to give a good description to the Air Force
intelligence people. It was a B-29 fuselage. The underside had a deep blue glow.
There were two rows of
windows from which bright lights glowed
, and a "Biot trail of orange red flame" shot out the back.
Only one passenger was looking out of the window at the time. The ATIC investigators talked to him. He said he saw a strange, eerie
streak of light, very intense
, but that was all, no details. He said that it all happened before he could adjust
his eyes to the darkness.
Minutes later a crew chief at Robins Air Force Base à Macon, en Georgie, reported seeing an extremely bright light pass overhead, traveling at a high speed. A few days later another report from the night of July 24 came in. A pilot, flying near the Virginia North Carolina state line, reported that he had seen a "bright shooting star" in the direction of Montgomery, Alabama, at about the exact time the Eastern Airlines DC-3 was "buzzed."
According to the old timers at ATIC, this report shook them worse than the Mantell Incident. This was the first time two reliable sources had been really close enough to anything resembling a UFO to get a good look and live to tell about it. A quick check on a map showed that the UFO that nearly collided with the airliner would have passed almost over Macon, Georgia, after passing the DC-3. It had been turning toward Macon when last seen. The story of the crew chief at Robins AFB, 200 miles away, seemed to confirm the sighting, not to mention the report from near the Virginia North Carolina state line.
In intelligence, if you have something to say about some vital problem you write a report that is known as an Estimate
of the Situation
. A few days after the DC-3 was buzzed, the people at ATIC decided that the time had arrived to
make an Estimate of the Situation. The situation was the UFO's; the estimate was that they were interplanetary!
It was a rather thick document with a black cover and it was printed on legal sized paper. Stamped across the front were the words TOP SECRET.
It contained the Air Force's analysis of many of the incidents I have told you about plus many similar ones. All of them had come from scientists, pilots, and other equally credible observers, and each one was an unknown.
The document pointed out that the reports hadn't actually started with the Arnold Incident. Belated reports from a
weather observer in Richmond, Virginia, who observed a silver disk
through his theodolite telescope; an F47
pilot and three pilots in his formation who saw a silver flying wing
, and the English "ghost airplanes" that
had been picked up on radar early in 1947 proved this point. Although reports on them were not received until after
the Arnold sighting, these incidents all had taken place earlier.
When the estimate was completed, typed, and approved, it started up through channels to higher command echelons. It drew considerable comment but no one stopped it on its way up.
A matter of days after the Estimate of the Situation was signed, sealed, and sent on its way, the third big sighting
of 1948, Volume III of "The Classics," took place. The date was October 1,
and the place was Fargo, North Dakota; it was the famous Gorman Incident, in which a pilot fought a duel of
death
with a UFO.
The pilot was George F. Gorman, a twenty-five-year-old second lieutenant in the North Dakota Air National Guard.
It was eight thirty in the evening and Gorman was coming into Fargo from a cross-country flight. He flew around Fargo for a while and about nine o'clock decided to land. He called the control tower for landing instructions and was told that a Piper Cub was in the area. He saw the Cub below him. All of a sudden what appeared to be the taillight of another airplane passed him on his right. He called the tower and complained but they assured him that no other aircraft except the Cub were in the area. Gorman could still see the light so he decided to find out what it was. He pushed the F-51 over into a turn and cut in toward the light. He could plainly see the Cub outlined against the city lights below, but he could see no outline of a body near the mysterious light. He gave the '51 more power and closed to within a 1,000 yards, close enough to estimate that the light was 6 to 8 inches in diameter, was sharply outlined, and was blinking on and off. Suddenly the light became steady as it apparently put on power; it pulled into a sharp left bank and made a pass at the tower. The light zoomed up with the F-51 in hot pursuit. At 7,000 feet it made a turn. Gorman followed and tried to cut inside the light's turn to get closer to it but he couldn't do it. The light made another turn, and this time the '51 closed on a collision course. The UFO appeared to try to ram the '51, and Gorman had to dive to get out of the way. The UFO passed over the '51's canopy with only a few feet to spare. Again both the F-51 and the object turned and closed on each other head on, and again the pilot had to dive out to prevent a collision. All of a sudden the light began to climb and disappeared.
I had the distinct impression that its maneuvers were controlled by thought or reason
, Gorman later told ATIC
investigators.
Four other observers at Fargo partially corroborated his story, an oculist, Dr. A. D. Cannon, the Cub's pilot, and his passenger, Einar Neilson. They saw a light "moving fast," but did not witness all the maneuvers that Gorman reported. Two CAA employees on the ground saw a light move over the field once.
Project Sign investigators rushed to Fargo. They had wired ahead to ground the plane. They wanted to check it over before it flew again. When they arrived, only a matter of hours after the incident, they went over the airplane, from the prop spinner to the rudder trim tab, with a Geiger counter. A chart in the official report shows where every Geiger counter reading was taken. For comparison they took readings on a similar airplane that hadn't been flown for several days. Gorman's airplane was more radioactive. They rushed around, got sworn statements from the tower operators and oculist, and flew back to Dayton.
In the file on the Gorman Incident I found an old memo reporting the meeting that was held upon the ATIC team's return from Fargo. The memo concluded that some weird things were taking place.
Les historiens des ovnis sont d'accord. Donald Keyhoe, retiré du
Corps des Marines et auteur professionnel, auteur de The Flying Saucers Are Real et Flying Saucers from
Outer Space, aiguillonne l'Air Force sur l'incident de Gorman, mettant en avant comment, après avoir faiblement
suggéré que la lumière aurait pu être un ballon
météo éclairé, le laissèrent tomber comme un hot UFO. Une personne du nom de Wilkins, dans un livre faisant tout
autant autorité, dit que l'incident de Gorman avait "stumped" l'Air Force. D'autres historiens assortis mettent en
avant que normalement les ovnis sont pacifiques, que Gorman et Mantell avaient juste été un peu trop curieux, et
que les "autres" n'étaient juste pas prêts à être observés de près. Si l'Air Force n'avait pas refermé le couvercle de
la sécurité, ces auteurs auraient pu ne pas aboutir à cette conclusion. Il y a eu d'autres et plus lurid duels à
mort
.
en juin 1952 à 22:58, un observateur du Corps des Observateurs au Sol signala qu'un appareil en déplacement lent approchait du Laboratoire de Oak Ridge de l'AEC, une zone si secrète qu'elle est interdite aux appareils. L'observateur called the light into his filter center and the filter center relayed the message to the ground control intercept radar. They had a target. But before they could do more than confirm the GOC spotter's report, the target faded from the radarscope.
An F-47 aircraft on combat air patrol in the area was vectored in visually, spotted a light, and closed on it. They "fought" from 10 000 to 27 000 pieds, and several times the object made what seemed to be ramming attacks. The light was described as white, 6 to 8 inches in diameter, and blinking until it put on power. The pilot could see no silhouette around the light. The similarity to the Fargo case was striking.
On the night of December 10, 1952, near another atomic installation, the Hanford plant in Washington, the pilot and
radar observer of a patrolling F-94 spotted a light while flying at 26,000 feet. The crew called their ground control
station and were told that no planes were known to be in the area. They closed on the object and saw a large, round,
white thing
with a dim reddish light coming from two windows
. They lost visual contact, but got a radar
lock-on. They reported that when they attempted to close on it again it would reverse direction and dive away. Several
times the plane altered course itself because collision seemed imminent.
In each of these instances, as well as in the case narrated next, the sources of the stories were trained airmen with excellent reputations. They were sincerely baffled by what they had seen. They had no conceivable motive for falsifying or "dressing up" their reports.
The other dogfight occurred le , between a Navy pilot of a TBM and a light over Cuba.
The pilot had just finished making some practice passes for night fighters when he spotted an orange light to the east of his plane. He checked on aircraft in the area, learned that the object was unidentified, and started after it. Here is his report, written immediately after he landed:
As it [the light] approached the city from the east it started a left turn. I started to intercept. During the first part of the chase the closest I got to the light was 8 to 10 miles. At this time it appeared to be as large as an SNJ and had a greenish tail that looked to be five to six times as long as the light's diameter. This tail was seen several times in the next 10 minutes in periods of from 5 to 30 seconds each. As I reached 10,000 feet it appeared to be at 15,000 feet and in a left turn. It took 40 degrees of bank to keep the nose of my plane on the light. At this time I estimated the light to be in a 10-to-15 mile orbit.
At 12,000 feet I stopped climbing, but the light was still climbing faster than I was. I then reversed my turn from left to right and the light also reversed. As I was not gaining distance, I held a steady course south trying to estimate a perpendicular between the light and myself. The light was moving north, so I turned north. As I turned, the light appeared to move west, then south over the base. I again tried to intercept but the light appeared to climb rapidly at a 60 degree angle. It climbed to 35,000 feet, then started a rapid descent.
Prior to this, while the light was still at approximately 15,000 feet, I deliberately placed it between the moon and myself three times to try to identify a solid body. I and my two crewmen all had a good view of the light as it passed the moon. We could see no solid body. We considered the fact that it might be an aerologist's balloon, but we did not see a silhouette. Also, we would have rapidly caught up with and passed a balloon.
During its descent, the light appeared to slow down at about 10,000 feet, at which time I made three runs on it. Two were on a 90 degree collision course, and the light traveled at tremendous speed across my bow. On the third run I was so close that the light blanked out the airfield below me. Suddenly it started a dive and I followed, losing it at 1,500 feet.
In this incident the UFO was a balloon.
The following night a lighted balloon was sent up and the pilot was ordered up to compare his experiences. He duplicated his dogfight - illusions and all. The Navy furnished us with a long analysis of the affair, explaining how the pilot had been fooled.
In the case involving the ground observer and the F-47 near the atomic installation, we plotted the winds and calculated that a lighted balloon was right at the spot where the pilot encountered the light.
In the other instance, the white object with two windows
, we found that a skyhook balloon had been plotted at
the exact site of the "battle."
Gorman fought a lighted balloon too. An analysis of the sighting by the Air Weather Service sent to ATIC in a letter dated January 24, 1949, proved it. The radioactive F-51 was decontaminated by a memo from a Wright Field laboratory explaining that a recently flown airplane will be more radioactive than one that has been on the ground for several days. An airplane at 20,000 to 30,000 feet picks up more cosmic rays than one shielded by the earth's ever present haze.
Why can't experienced pilots recognize a balloon when they see one? If they are flying at night, odd things can happen to their vision. There is the problem of vertigo as well as disorientation brought on by flying without points of reference. Night fighters have told dozens of stories of being fooled by lights.
One night during World War II we had just dumped a load of bombs on a target when a "night fighter" started to make a
pass at us. Everyone in the cockpit saw the fighter's red-hot exhaust stack as he bore down on us. I cut loose with
six caliber-.50 machine guns. Fortunately I missed the night fighter
- if I'd have shot it I'd have fouled up
the astronomers but good because the "night fighter" was Venus.
While the people on Project Sign were pondering over Lieutenant Gorman's dogfight with the UFO - at the time they weren't even considering the balloon angle - the Top Secret Estimate of the Situation was working its way up into the higher echelons of the Air Force. It got to the late General Hoyt S. Vandenberg, then Chief of Staff, before it was batted back down. The general wouldn't buy interplanetary vehicles. The report lacked proof. A group from ATIC went to the Pentagon to bolster their position but had no luck, the Chief of Staff just couldn't be convinced.
The estimate died a quick death. Some months later it was completely declassified and relegated to the incinerator. A few copies, one of which I saw, were kept as mementos of the golden days of the UFO's.
The top Air Force command's refusal to buy the interplanetary theory didn't have any immediate effect upon the morale of Project Sign because the reports were getting better.
A belated report that is more of a collectors' item than a good UFO sighting came into ATIC in the fall of 1948. It
was from Moscow. Someone, I could never find out exactly who, reported a huge smudge like
object in the sky.
Then radar came into the picture. For months the anti saucer factions had been pointing their fingers at the lack of radar reports, saying, "If they exist, why don't they show up on radarscopes?" When they showed up on radarscopes, the UFO won some converts.
On October 15 an F-61, a World War II "Black Widow" night fighter was on patrol over Japan when it picked up an
unidentified target on its radar. The target was flying between 5,000 and 6,000 feet and traveling about 200 miles per
hour. When the F-61 tried to intercept it would get to within 12,000 feet of the UFO only to have it accelerate to an
estimated 1,200 miles per hour, leaving the F-61 far behind before slowing down again. The F-61 crew made six attempts
to close on the UFO. On one pass, the crew said, they did get close enough to see its silhouette. It was 20 to 30 feet
long and looked like a rifle bullet
.
Toward the end of November a wire came into Project Sign from Germany. It was the first report where a UFO was seen and simultaneously picked up on radar. This type of report, the first of many to come, is one of the better types of UFO reports. The wire said:
le heure locale, le capitaine vit un objet dans les airs directement à l'est de cette base. Il était à un altitude inconnue. Il ressemblait à une étoile rougeâtre et se déplaçait en direction du sud à travers Munich, tournant légèrement vers le sud-ouest puis au sud-est. La vitesse aurait pu être entre 200 et 600 miles/h, la vitesse réelle ne put être estimée, ne connaissant pas l'altitude. Le capitaine appelle les opérations de la base et ils appelèrent la station radar. Le radar signala qu'ils avaient rien vu sur leur écran mais allait revérifier. Le radar rappela alors les opérations pour signaler qu'ils avaient bien une cible à 27 000 pieds, à quelques 30 miles au sud de Munich, voyageant à 900 miles/h. Le capitaine signala que l'objet qu'il voyait était maintenant dans cette zone. Quelques minutes plus tard le radar appela à nouveau pour dire que la cible était montée à 50 000 pieds, et faisait des rotations à 40 miles au sud de Munich.
Capt. - is an experienced pilot now flying F-80's and is considered to be completely reliable. The sighting was verified by Capt. , also an F-80 pilot.
The possibility that this was a balloon was checked but the answer from Air Weather Service was not a balloon
.
No aircraft were in the area. Nothing we know of, except possibly experimental aircraft, which are not in Germany, can
climb 23 000 feet in a matter of minutes and travel 900 miles per hour.
Fin en , le Projet Sign avait reçu plusieurs centaines de signalements d'ovnis. Parmi ceux-ci, 167 avaient été conservés comme étant de bons signalements. Environ 3 douzaines étaient "Inconnus." Même si les signalements d'ovnis devenaient meilleurs et plus nombreux, l'enthousiasme pour l'idée interplanétaire se refroidissait. Les mêmes gens qui s'étaient battus pour aller à la base aérienne de Godman AFB parler au Colonel Hix et ses observateurs d'ovni en janvier devaient maintenant être poignardés lorsqu'une observation nécessitait une enquête. De plus en plus de travail était poussé sur l'autre organisation enquêtrice qui aidait l'ATIC. Le contrecoup de la l'Estimation Top Secrète de la Situation commençait à atténuer beaucoup d'enthousiasmes. Ce fut véritablement un bear market pour les ovnis.
Un bull market était on the way, cependant. Le début de en allait apporter de "petites lumières" et les boules lumineuses vertes.
Les "petites lumières" étaient des ovnis, mais les boules lumineuses vertes étaient réelles.