Un certain nombre de témoignages font état d'ovnis s'écrasant au sol. Certains ont été expliqués par des crashes de météores, alors que d'autres restent plus difficiles à expliquer par de telles causes triviales.
Indépendamment de la véracité de ces histoires, une question théorique récurrente à propos de tels crashes est de savoir si leur existence serait cohérente avec une technologie aussi avancée que le laisse supposer l'HET.
Les crashes supposent souvent la découverte d'occupants des appareils, dont on trouvera les premiers témoignages en n1Si l'on considère la date des déclarations, des cas comme Roswell ne parlent de cadavres que bien plus tard.
Dominique Caudron émettra l'idée que les récits de cadavres extraterrestres pourraient être issus d'expériences de crashes d'appareils transportant des singes (les V-2 à partir de en ). C'en serait ensuivies les premières histoires de crashes en puis bien plus tard, des mélanges de ces histoires de cadavres avec des cas comme de celui de Roswell dans les années 1980s.
Plutôt que de contester l'existence de cadavres, l'USAF dans le cas du crash de Roswell, l'USAF proposera dans un de ses rapports une explication des témoignages cadavres : des mannequins de test lâchés depuis le ciel.
D'autres récits relatent des crashes d'appareils conventionnels liés aux ovnis. Typiquement, un avion s'écrasera après avoir pris en chasse un ovni mais il existe aussi des cas de crashes d'avions "banaux" où se trouvaient les enquêteurs.
Ces histoires sont parfois interprétées comme des démonstrations de l'hostilité de certains ovnis. Bien que très minoritaire (en supposant qu'il s'agisse d'appareils pilotés par une intelligence quelconque) démontrer une telle hostilité permet d'aller à l'encontre de conclusions de rapports officiels (Condon par exemple) justifiant l'arrêt de recherches sur les ovnis par l'absence de toute hostilité et tout danger apparent du phénomène n2Ceci étant dit, on sait qu'en dehors d'un danger explicite, il existe toujours au moins le danger implicite de laisser voler sur son territoire des appareils non-identifiés par exemple.