Les ballons sont responsables d'un grand nombre de méprises. Cela fait d'eux de bons instruments de canulars.
Ces ballons gonflés à l'helium (des jouets de type fête foraine), peuvent donner lieu à des méprises (par exemple) s2Yturria, Santiago: "The Mysterious Flying Humanoids", Rense, 3 juillet 2005.
Les dirigeables (blimps), parfois source de méprises de par leur forme lenticulaire vus de profil n1Voire carrément lenticulaires, généralement vus de loin illuminés la nuit ou éclairés par le soleil au crépuscule.
Ils furent l'objet de spéculation pour expliquer les vagues d'observation d'airships à la fin du 19ème et au début du 20ème siècle.
en que le Service d'Aéronomie du CNRS lance depuis Trappes (Yvelines) le 1er ballon stratosphérique français. A partir en , le CNES met en œuvre un programme d'aérostat et la Division Ballons du CST s3"Généralités", Serveur de la Division Ballons du CNES va lancer en 40 ans depuis la France comme l'étranger près de 3000 ballons de grande taille (30 à 80 m de diamètre), pouvant évoluer jusqu'à 40 km d'altitude et couvrir des distances très importantes avant de redescendre. La France devient ainsi le 2ᵉ pays (derrière les USA) à maîtriser toutes les techniques ballons de la conception à leur exploitation.
Ces ballons permettent d'effectuer des expériences dans presque toutes les disciplines scientifiques : Aéronomie, Aérologie, Astronomie, Astrophysique, Biologie, Géophysique, Météorologie, Planétologie, Technologie spatiale.
Pour des raisons technologiques, on distingue plusieurs types de missions :
A chaque type de mission correspond un type de ballon:
Lancés par les stations météorologiques sont plus petits (une dizaine de mètres au maximum) et montent moins haut (habituellement 10 km, parfois 30 km).
Ces ballons sont vus à l'œil sous forme d'une lueur brillante un peu plus grosse qu'une étoile. A l'aide de jumelles, on distingue bien leur forme caractéristique : triangulaire pointe en bas, ou parfois ovale ou circulaire. Ils sont particulièrement visibles au coucher ou au lever du Soleil, qui les éclaire vivement et peut les colorer. Les observations peuvent être longues, de 1/4 h à plusieurs heures. Leurs déplacements sont lents, sans vives accélérations, sans virages brusques (mais les ballons-sondes, qui planent à des altitudes plus faibles, peuvent se déplacer nettement plus rapidement que des ballons de recherche). Les vents de haute altitude peuvent être différents de ceux présents au niveau du sol ou des nuages bas, et poussent donc parfois le ballon dans une autre direction que celle attendue par le témoin.