Lumières Dans La Nuit n'est pas une association à but non lucratif, mais une société commerciale, créée en par Raymond Veillith, et domiciliée à Chambon-sur-Lignon s1Phénoména n° 35. Elle est toutefois liée à l'association France-Ufologie (anciennement ANELDLN), conçue pour répondre à la demande des individus désirant faire activement de l'ufologie, mais qui, se sentant isolés, ont du mal à passer à l'acte.
Ses activités regroupent :
LDLN édite en un bulletin qu'on peut se procurer au numéro ou par abonnement. Le journal propose à
toute personne majeure qui en fait la demande une "carte d'enquête officielle". Veillith met l'accent dès le 1er numéro sur le fait parfois ignoré que presque toutes les
questions vitales et/ou importantes sont l'objet des plus vives controverses : bien évidemment, les ovnis ne font pas
exception. Dans le premier éditorial, Veillith déclare que bien des questions peuvent
être éclairées dans un jour nouveau à condition que les éléments décisifs, propres à trancher les problèmes
apparemment insolubles, soient mis en évidence
. Cette ligne de conduite perdure toujours dans la revue actuelle.
en , la revue est mensuelle et ronéotypée en majeure partie. Après cette date, elle est imprimée passant bimestrielle de en à la mi-en . L'arrivée de Fernand Lagarde au printemps en permet à la revue de redevenir mensuelle avec la sortie des numéros sous-titrés "contact-lecteurs". en , le comité de rédaction de LDLN comprend Aimé Michel, Lagarde, Veillith, Michel Monnerie et Ollier.
Dès la fin des années 1960s et dans les années 1970s, sont mis en place :
À l'époque travaille notamment pour LDLN l'archiviste et documentaliste bénévole Christiane Gueudelot et son fils Patrice (photographe), durant de nombreuses années.
Le vendredi le , sur France Inter, Jean-Claude Bourret formule une conclusion de sa série d'entretiens sur les ovnis, aux côtés de Claude Villers. Michel Monnerie, membre influent de cette association, y est invité et annonce que LDLN organise une soirée de surveillance du ciel national pour le lendemain. Le lendemain, malgré la publicité autour de l'opération, aucune photo n'est envoyée à l'émission s2Bourret : 1976.
en est créée le CVLDLN par François Diolez (président) et René Faudrin (vice-président). Gilles Munsch y arrive 2 mois plus tard, comme responsable des enquêtes.
Les années 1980s ayant plutôt été marquées par une stagnation, un reflux de l'intérêt manifesté aux ovnis, la revue passe de nouveau bimestrielle.
en , Joël Mesnard rachète la revue à Veillith. Il est le seul à diriger la revue publiée à 15000 exemplaires depuis Saint Julien-l'Ars, sans journalistes : de multiples associations et auteurs ufologues (Gildas Bourdais, Jean Sider notamment) se chargent des écrits. Joël Mesnard fait le tri et écrit quelques articles.
Du côté du CVLDLN, Gilles Munsch prend la vice-présidence à la mutation de René Faudrin, puis la présidence en lorsque Diolez quitte l'ufologie. Après une prise de distance entre LDLN et la CVLDLN, cette dernière est dissoute à la fin des années 1990s.
le , après le n° 419, la publication de LDLN est réalisée par Sylvie et Laurent Boulanger, à Sainte Croix (Saône-et-Loire).
le le magazine est placé en liquidation judiciaire et le , les Boulanger annoncent mettre fin à la parution de la revue s3Loterre, G. : "fin officiel de LDLN capture d'écran du courrier reçu ce jour", Facebook, 2016-10-06.
en la revue est reprise par Jean-Louis Lagneau à Fontenay-Trésigny (Seine-et-Marne) sous le titre provisoire de Lumières Diurnes Lumières Nocturnes (LDLN). Depuis le le , le titre Lumières Dans La Nuit est de nouveau repris par la revue.