Lumières non-identifiables

Maccabee, Bruce S.Maccabee, Bruce S.: IUR vol. 12, n° 2, CUFOS,

Il était 17:11 heure locale, en cette fin d'après-midi du , alors que le JAL1628 (la designation de ce vol particulier) était haut au-dessus de la partie gelée du nord-est de l'Alaska, que le capitaine Terauchi réalisa pour la 1ʳᵉ fois qu'il avait de la compagnie : il y avait des feux d'appareils eb bas à gauche. Après les avoir regardé pendant un court moment, il se dit qu'il devait s'agir de appareils spéciaux en mission ou de 2 chasseurs sur une mission quelconque n1l'espace aérien de l'Alaska, étant proche de l'Union Soviétique, était patrouillé par des jets de l'USAF. Il décida de les ignorer. Mais la position des lumières n'avait pas changé même après quelques minutes et cela attira notre attention. En d'autres mots, les lumières semblaient se déplacer avec son avion .

A ce moment le cargo Boeing 747 était sur auto-pilote et se dirigeait vers le sud-ouest (une orientation de 215 ° environ) à une altitude de 10668 m . Le ciel sur la droite avait les derniers reflets du coucher du Soleil, mais devant et à gauche il faisait très sombre.

L'AARTCC avait appelé l'avion juste avant ce moment, i.e., à 17:09:20 (ou après 17:09 ; les heures exactes sont basées sur l'enregistrement audio des événements par l'AARTCC) pour signaler leur contact radar initial avec l'avion, qui à ce moment était à près de au nord-est de Fort Yukon (en regardant la carte, on voit que l'avion était à ce moment dans le "coin supérieur droit" de l'Alaska). Le contrôleur de vol avait demandé à l'avion de se diriger directement vers un point de repère d'une une route aérienne nommé Talkeetna, d'après la petite ville d'Alaska voisine (au nord d'Anchorage et non loin du Montt McKinley) (en faisant cela l'avion devait passer au sud de Fort Yukon et de Fairbanks. Le co-pilote, qui prenait en charge les communications de l'appareil, accepta la demande de l'AARTCC puis fit virer l'avion sur la gauche (rotation gauche) d'environ 15 ° vers une orientation de 215 °. C'est durant de virage que le capitaine Terauchi, assis du côté gauche du cockpit, vit pour la 1ʳᵉ fois les lumières non-identifiables par sa fenêtre de côté .

Figure 1
Figure 1

Après que l'avion ait se soit remis de niveau, il observa des lumières qui ressemblaient à des feux d'appareils, devant à 30 ° à gauche, à 610 m sous nous, se déplaçant exactement dans la même direction et avec la même vitesse que nous. A ce moment l'avion volait à une vitesse au sol d'environ selon les données de suivi . Par la suite la vitesse diminua jusqu'à environ.

Il est important de noter le fait que le pilote a déclarer penser que les feux se trouvaient à 610 m sous lui. Il ne pouvait pas savoir de quelle distance les lumières pouvaient être éloignées sous lui par sa seule vision (pour déterminer la distance sous lui il aurait dû connaître l'angle de dépression exact et la distance aux lumières). Néanmoins, sa déclaration indique que sa ligne de de vue vers les lumières avait un angle de dépression notable (un angle sous l'horizontale). À 10668 m la distance à horizon distance est d'environ et donc l'angle de dépression de l'horizon est d'environ 1,5 °, ce qui est à peine notable. La déclaration du pilote implique donc que les lumières étaient en-dessous, probablement très en-dessous son horizon, i.e., entre lui et le sol, ce qui exclut donc toute source astronomique pour ces lumières n2Le CSICOP publia sa "solution" initiale de l'observation comme étant Jupiter et Mars. Cela sera décrit plus loin..

La réaction initiale du capitaine face aux lumières fut de les ignorer comme étant des chasseurs des USA, probablement des appareils militaires venus d'une des bases USAF voisines (Eielson ou Elmendorf). Mais la position des lumières n'avait pas changé même au bout de quelques minutes et cela attira notre attention . Les faux de ces 2 "appareils" restèrent sur la gauche pendant un moment et c'est alors que l'incroyable se produisit n3L'ordre des événements présenté ici suit l'ordre de la bande audio de l'AARTCC [ref. 11]. L'ordre des événements dans le témoignage du capitaine est relativement différent. Il apparait qu'il se soit précisément remémoré la plupart des événements qui ont constitué l'ensemble de l'observation, mais qu'il ne les a pas toujours présentés dans l'ordre correct. Sa présentation semble avancer ou reculer dans le temps par moments. L'ordre des événements présenté ici semble, pour l'auteur, être le plus cohérent avec le témoignage du co-pilote et de l'ingénieur de vol et de la bande audio de l'ARTCC. Il devrait être noté que les les lumières ont d'avord été vues par le capitaine à un endroit sur la gauche et en-dessous de l'plane où ni le co-pilote ni l'ingénieur de vol n'aurait pu regarder. On ne sait pas si le capitaine leur a mentionné ou non à ce moment-là. Mais les 3 témoins se souviennent d'avoir vu les lumières rester devant et relativement à gauche de l'appareil pendant un certain nombre de minutes, puis d'avoir vu la lumière revenir sur le côté gauche jusqu'à la position des 9 heures. Après que les lumières aient soient retombées aussi loin que ça, seul le pilote pouvait facilement les voir en raison de sa position sur le côté gauche du cockpit. Ainsi, l'événement total a consisté en une observation à témoin unique au début, une observation à témoins multiples au milieu, et une observation à témoin unique à la fin..