Ce qui suit est un bref résumé des mutilations signalées dans d'autres états d'où des informations furent obtenues. Pour certains de ces états, plus d'informations détaillées, dont des rapports soumis par des vétérinaires et autres responsables, sont disponibles dans la section des annexes. Par souci de commodité, les états sont listés par ordre alphabétique.
Plusieurs cas furent signalés ces 3 dernières années, dont aucun n'impliquait des humains. Cette information me fut fournie dans une lettre datée du le .
Plusieurs mutilations de bétail furent signalées en ; 1 en et 1 en . Les enquêteurs ont déclaré dans lettre datée du le , que ces mutilations étaient causées soit par des prédateurs soit par des personnes cherchant la publicité.
Entre en , il y eut 3 mutilations signalées, qui eurent toutes lieu dans le comté de Christian (Illinois). Aucune détermination ne fut faite.
Les autorités enquêtent sur approximativement 12 cas, qu'ils pensent induits par des humains. Un porte-parole informa qu'il s'agissait d'une situation locale, et que l'enquête était actuellement en cours. Aucune de ces mutilations n'a été confirmée par le Laboratoire de Diagnostic Vétérinaire de l'Université d'état de l'Iowa.
Aucun cas n'a été confirmé par le Laboratoire de Diagnostic Vétérinaire de l'Université d'état du Kansas. Lors d'une conversation le avec Philip S. Arkow — président de la Fédération des Agences de Protection Animale du Colorado et secrétaire de l'Association Nationale de Contrôle Animal à Colorado Springs, il m'informa qu'il était récemment revenu d'un atelier sur les mutilations patronné conjointement par l'Université d'état du Kansas et la Division de Control Animal de l'état du Kansas.
Arkow déclara qu'un article avait été présenté à cet atelier par le Dr. George Kennedy du Département de Pathologie de l'Université d'état du Kansas. A l'atelier, il fut conclu que dans tous les cas enquêtés au Kansas depuis en , aucune preuve d'implication humaine n'a jamais été découverte. Ces mutilations furent plus tôt déterminées être le résultat d'une activité normale de prédateurs et de charognards.
L'incident enquêté fut résolu comme des modifications post-mortem faites par des animaux sauvages
. Cette
information fut fournie dans une lettre datée du le .
15 cas ont été signalés, tous inexpliqués
.
Selon les autorités de l'Ecole de Médecine de l'Université d'état du Dakota du Sud, toutes les mutilations qu'ils ont examinèrent furent causées par de petits animaux se nourrissant sur les carcasses.
Selon les autorités du Laboratoire de Diagnostic Animal de l'Ecole de Médecine de l'Université du Missouri, toutes les mutilations qu'ils examinèrent furent attribuées à des dommages faits par des oiseaux et autres carnivores.
Plusieurs mutilations furent signalées ces quelques dernières années, selon les informations contenues dans leurs fichiers.
Seules 2 furent pensées être causées par des humains.
Depuis en , la Patrouille Autoroutière du Nebraska a enquêté sur entre 130 et 150 mutilations signalées. Sur ces incidents, 20 autopsies furent réalisées. Dans 1 seul cas la mutilation fut causée par un humain. Cet individu fut par la suite appréhendé et poursuivi. Selon une lettre datée du le , cette personne avait été grandement influencée par les récits des media sur les mutilations.
1 incident fut signalé en . Une enquête révéla que la mutilation avait été faite par un vétérinaire practicien, qui avait autopsié l'animal afin de déterminer la cause de la mort. Cette information fut fournie dans une lettre datée du le .
L'agent en chef du Bureau d'Enquête Criminelle m'informa que les autorités de cet état avaient déterminé que l'ensemble des mutilations sur lesquelles ils avaient enquêté furent causées par des mouffettes, coyotes, blaireaux et autres animaux sauvages.
9 mutilations signalées firent l'objet d'une enquête. Les 2 qui étaient adaptées à un test furent examinées par le laboratoire de la police, qui rapporta avoir trouvé des marques de mastication sur la carcasse.
Au moins 12 cas furent examinés par les autorités en . L'implication humaine fut exclue dans chaque cas. Selon le Laboratoire de Diagnostic Animal de l'Université d'état du Dakota du Sud, chaque incident comportait des indices d'animaux prédateurs.
Chez les specimens examinés par le Centre de Diagnostic Animal de l'Université A&M du Texas, une implication humaine fut catégoriquement éliminée comme cause possible dans chaque cas.
Dans une lettre datée du le , les autorités indiquèrent que toutes les mutilations sur lesquelles elles enquêtèrent avaient été résolues. Des causes naturelles étaient responsables de la plupart d'entre eux. Dans quelques cas où l'une implication humaine fut déterminée, les mutilateurs se révélèrent être des farceurs impliqués dans une chasse initiatrice aux charognards à leur faculté.
Un certain nombre de cas fit l'objet d'enquêtes dans le Wisconsin en et en . Selon les informations fournies dans une lettre datée du le , les autorités avaient déterminé que toutes les morts étaient dues à des causes naturelles. Dans la plupart de ces cas, les mutilations furent causées par des prédateurs.
Selon le vétérinaire d'état du Laboratoire de l'Université d'état du Wyoming, les mutilations enquêtées dans cet état sont causées par des prédateurs.