Bien que cet incident n'ait pas été signalé comme une mutilation, il est is spécialement intéressant pour le projet en raison des dommages sur la carcasse. L'animal était possédé par un rancher de Cordova, qui avait remarqué que sa vache n'était pas venue se nourrir depuis plusieurs jours. Au lieu de cela, l'animal était resté dans une zone ombragée, qui était facilement visible du propriétaire. Le en décembre à en le propriétaire découvrit que l'animal était mort et que la zone de l'anus avait été enlevée en un cercle quasi-parfait. Ayant entendu parler de mon projet par son fils, qui est un officier de police d'une tribu indienne, le propriétaire me contacta pour voir si je pourrais être intéressé de voir l'animal.
Peu après, j'arrivais à Cordova accompagné du Dr. Philip Shultz, un chirurgien à la retraite de Santa Fe ; Cipriano Padilla, enquêteur du procureur du district ; et Henry Guillen, inspecteur du bétail. En présence du propriétaire et de son fils, nous examinâmes l'animal, qui était un bovin femelle d'à peu près 5 ans. Il reposait sur son côté gauche à 75 yards environ de la maison du ranch.
Il y avait un trou circulaire de 5 à 6 pouces dans la zone de l'anus. Une caractéristique courante de ce qu'on appelle une "mutilation classique" est l'anus parfaitement extrait. Cet anus paraissait certainement correspondre à cette description. Cependant, les induces pointent vers les charognards plutôt que des chirurgiens compétents en tant que parties responsables des dommages, car bien que l'incision semble être très lisse lorsque regardée depuis une distance de 6 pieds, une inspection de plus près révèle que les bords de l'extérieur sont en fait assez irréguliers, en particulier à la position de 7 h. De plus, des crottes de coyote furent trouvées près de la carcasse. Selon le propriétaire, les coyotes sont assez fréquents dans la zone comme le sont des groupes de chiens sauvages.
Les éléments trouvés sur les lieux indiquaient que l'animal avait souffert de diarrhée. À en juger par la couleur sombre de la selle, il avait aussi fait une hémorragie interne. Un échantillon de sang fut prélevé de la veine jugulaire extérieure par le Dr. Shultz. Dans un effort pour aider le propriétaire, ce specimen et un échantillon de peau, ainsi que d'autres éléments recueillis sur les lieux (c'est-à-dire des feuilles tachées de sang), furent transmises au Laboratoire Scientifique de Los Alamos (LASL) pour analyse.
Bien qu'incapable de déterminer la cause exacte de la mort, le LASL dans une lettre du en décembre, rapporta que les feuilles et crottes contenaient du sang, que l'animal avait souffert d'une diarrhée sanglante sévère. L'inspecteur Guillen avait auparavant suggéré que la babesiose — un type d'infection clostridiale connu sous le nom d'hemoglobiuria bacillaire — aurait pu être la cause de la mort, d'autres cas ayant été récemment signalés dans la région. Malheureusement, le LASL fut incapable de tester le clostridium perfingens, les moyens pour le faire ayant été temporairement indisponibles. Cependant, une analyse chimique de l'échantillon de sang fut menée in their conventional proximity screen for 52 agents. Les résultats furent négatifs. En bref, il n'y avait pas d'indice que l'animal ait été drogué.
Suite à ces tests, le LASL conclut que l'animal, qui avait à l'évidence était malade pendant un moment, était probablement mort d'une infection massive. Ils maintinrent aussi que la carcasse avait probablement été endommagée par des corbeaux, des pies et autres charognards, l'échantillon de peau ayant à l'évidence été déchiré. Cependant, il n'y eut pas de marques de dents trouvées dans les specimens soumis.
La figure n° 49 fut prise à peu près 6 pieds de la carcasse et montre un trou qui pourrait être facilement décrit à cette distance comme un cercle parfait. Il devrait être noté qu'une collecte de sang s'était écoulé dans la portion inférieure de la cavité.
La figure n° 50 est un cliché rapproché de la même zone prise avec un objectif macro. Comme cela est évident dans cette image, les bords du cercle sont en fait assez irréguliers. De plus, un peu voir une petite portion de ses entrailles pendant par-dessus le cercle, ce qui est certainement un far cry de la précision chirurgicale si souvent attribuée à ces découpes.
En conclusion, ce cas souligne à nouveau le fait qu'une carcasse vue à distance parait assez différente d'une vue de
près. Comme la figure n° 49 l'illustre de manière si explicite, on peut facilement comprendre pourquoi une personne
regardant la carcasse depuis une distance de plusieurs pieds puisse décrire l'anus endommagé comme un exploit de précision
chirurgicale
. Une inspection de plus près, cependant, écarterait certainement cette conclusion. En bref, les
indices sur les lieux comme les tests effectués par le LASL indiquent clairement que l'animal est mort de causes
naturelles et fut par la suite endommagé par des charognards.