Bien que des observations de phénomènes inhabituels dans le ciel aient été signalées depuis des temps reculés, un outburst extraordinaire de telles observations à la fin des années 1940s et sur les 2 décades qui suivent a créé une controverse scientifique aigüe, centrée aux U.S., mais s'étendant autour du globe. Le terme OVNI, raccourci pour "objet volant non identifié," fut introduit en par l'U.S. Air Force. Un terme antérieur, "soucoupe volante," est toujours largement utilisé en Australie, Amérique du Sud, et en Europe, tandis qu'en Union Soviétique l'équivalent Russe de "faucille volante" est utilisé. Le terme d'ovni n'est pas restreint aux objets en forme de soucoupe pas plus qu'aux objets dans le ciel, et faire référence en général simplement à toute observation que l'observateur n'a pu comprendre, même si elle a par la suite pu être identifiée.
Une série de détections radar coincidant avec des observations visuelles près de l'Aéroport National à Washington (D.C.), en , amène le gouvernement U.S. à établir un panel de scientifiques dirigé par H. P. Robertson, un physicien de l'Institut de Technologie de Californie, et comprenant des ingénieurs, météorologues, physiciens et un astronome. Le niveau de préoccupation du public et gouvernemental est indiqué par le fait que le panel fut organisé par l'Agence Centrale de Renseignement (CIA), fut briéfé sur les activités militaires et de renseignement des U.S., et que son rapport ait à l'origine été classé Secret. Déclassifié par la suite, le rapport révéla que 90 % des observations d'ovnis pouvaient être facilement identifiées comme des phénomènes astronomiques et météorologiques (planètes lumineuses, météores, aurores, nuages ionisés) ou comme des avions, oiseaux, ballons, projecteurs, gaz chauds et autres phénomènes terrestres, parfois compliqués par des conditions météorologiques inhabituelles.
La publicité donnée aux premières observations dans la presse à sans doute aidé à stimuler des observations ultérieures, pas seulement aux U.S. mais aussi en Europe occidentale, Union Soviétique, Australie, et ailleurs. Un 2nd panel organisé en février 1966 aboutit à des conclusions similaires à celles de son prédécesseur. Cela laisse un certain nombre d'observation que l'on admet inexpliquées, et au milieu des années 1960s quelques scientifiques et ingénieurs, notamment James E. McDonald, un météorologue de l'Université de l'Arizona, et J. Allen Hynek, un astronome de l'Université Northwestern, concluent qu'un faible poucentage des rapports d'ovnis les plus fiables donnent de fortes indications de la présence de visiteurs extraterrestres.
Cette hypothèse sensationnelle, déjà promue dans les articles de journaux et de magazines, rencontre une prompte résistance de la part d'autres scientifiques. La controverse qui se prolonge débouche en 1968 au soutien par l'U.S. Air Force d'une étude à l'Université du Colorado sous la direction de E. U. Condon, un physicien renommé. Le Rapport Condon, Une étude scientifique des ovnis, est examiné par un comité spécial de l'Académie Nationale des Sciences et publié au début de en . Un total de 37 scientifiques ont écrit des chapitres ou parties de chapitres pour le rapport, qui a couvert des enquêtes sur 59 observations d'ovnis en détails, analysé des sondage d'opinion publique, et examiné les capacités du radar et de la photographie. Les propres "Conclusions et Recommandations" de Condon rejettent fermement "l'HET" - l'hypothèse extraterrestre - et déclarent qu'aucune autre investigation n'est nécessaire.
Ceci laisse une large variété d'opinions sur les ovnis. Une large fraction du public U.S., et quelques scientifiques et ingénieurs, continuent à soutenir l'HET. Un groupe moyen de scientifiques pense que la possibilité de visite extraterrestre, bien que faible, justifie une investigation poursuivie, et encore un autre groupe est en faveur d'une investigation continue sur la base que les signalements d'ovnis sont utiles dans les études sociopsychologiques. Ces visions et attitudes variables furent exprimés à un symposium tenu par l'Association Américaine pour l'Avancement de la Science, en .
en l'U.S. Air Force commence à maintenir un fichier des signalements d'ovnis nommé Projet Blue Book. vers le projet a répertorié les signalements de 12618 observations ou événements, dont chacun a fini par être classé comme "identifié" comme étant un phénomène astronomique, atmosphérique ou artificiel, ou comme "non identifié," y compris les cas dans lesquels les informations étaient insuffisantes. en , suite au Rapport Condon, le Projet Blue Book est arrêté. Les seuls autres enregistrements officiels et plutôt complets d'observations d'ovnis sont maintenus au Canada, où ils furent transférés en depuis le Département de la Défense Nationale Canadienne vers le Conseil de Recherche National Canadien et placé sous la supervision de Peter Millman, un météorologue. Les archives totalisent près de 750 en 1969. Des archives moins complètes furent maintenues en Grande-Bretagne, Suède, Danemark, Australie et Grèce, et furent généralement détruites après 5 ans.
Il y a eut des rapports de presse dans le monde entier, y compris un certain nombre de l'Union Soviétique. Mais bien
que de tels rapports reflètent une préoccupation globale de la part du public, ils tendent à attiser le sensationnel
et ne sont pas évalués de manière adéquate. Aucune synthèse détaillée des rapports de presse n'a encore été faite,
mais ils semblent avoir suivi une tendance géographique de mouvement vers l'Est, débutant avec la 1ʳᵉ observation
largement publiée de "soucoupe volante" dans l'ouest des U.S. en 1947. De nombreux rapports
d'observations dans la presse sur la Côte Est U.S. au début des années 1950s furent suivis de rapports en Grande-Bretagne, France, Union Soviétique, Australie, et sur la côte ouest U.S. dans les années 1960s. Dans les années 1960s eurent lieu
de nombreuses observations d'ovnis décollant depuis le sol
, un décalage depuis les formes de soucoupes vers des
formes de cigares dans les images rapportées, et un certain nombre de signalements d'effets sur les systèmes
électriques d'automobiles. De nombreuses autorités pensent que la couverture des ovnis par les media de masse ont à la
fois stimulé plus de rapports d'observations et encouragé un changement vers des événements plus dramatiques et des
images de formes différentes. Une série d'articles feature dans un journal argentin en
1968 fut rapidement suivie d'un certain nombre d'observations à Buenos Aires et dans d'autres villes.
Les signalements d'ovnis varient largement en fiabilité, tel qu'on peut en juger par le nombre de témoins, si les témoins sont indépendants l'un de l'autre, par les conditions d'observation (brouillard, brume, illumination, etc.), et par la direction de l'observation. Typiquement, le témoin qui a signalé une observation a considéré l'objet comme d'origine extraterrestre, ou peut-être un véhicule militaire, mais en tous cas sous contrôle intelligent, une conclusion généralement basée sur le vol apparemment en formation d'objets multiples, des mouvements non naturels semblant centrés sur une cible, ou des changements arbitraires dans la direction, luminosité ou dans le mouvement.
Que l'œil nu de l'homme joue des tours touchant à des hallucinations est bien connu. Une lumière brillante, telle que la planète Vénus, semble souvent se déplacer, bien qu'un télescope maintenu ou une barre d'observation montrent qu'elle est fixe. Des impression visuelles de distance sont également très peu fiables, étant basées sur une taille supposée. Des reflets de fenêtres et de lunettes peuvent fournir des visions superimposées. Des défauts optiques peuvent changer des sources ponctuelles de lumière en des objets apparemment en forme de soucoupe. De telles illusions d'optique, et le désir psychologique d'interpréter les images visuelles, sont connus pour expliquer nombre d'observations d'ovnis. Les observations radar, bien que plus fiables à certains égards, ne permettent pas de distinguer des objets physiques de traînées de météores, trajectoires de gaz ionisés, pluie, ou discontinuités thermiques. Même les "événements de contact" - dans lesquels des activités à côté de l'observation sont rapportées - se sont la plupart du temps révélées impliquer des rêves ou des hallucinations ; la fiabiltié de tels signalements dépend lourdement du fait qu'il y ait eu 2 témoins indépendants ou plus.
Les observations et signalements pourraient être classés de manière commode en 4 grandes catégories, avec pour chacune d'entre elle des exemples sélectionnés ci-après :
L'absence d'une explication donnée ne signifie pas nécessairement que l'exemple constitue un élément en faveur de l'HET. Cela signifie simplement qu'aucune explication n'est connue.
Nombre de ces observations ont été identifées comme étant la planète Vénus, d'après sa position connue dans le ciel.
Louisville, Kentucky, 7 janvier 1948. A 13 h 15 la the State Highway Patrol reported a flying saucer to the Godman Air Force Base, where the base commander and several other persons saw the object. A group of four USAF F-51 aircraft arrived at the base and three were directed by the control tower toward the UFO. One pilot saw it and started a rapid climb toward it; the other two fighter pilots remained behind and lost radio contact with the first just after he reported that he would climb to 20,000 feet altitude. He had no oxygen equipment and was killed when his plane crashed without further communication half an hour later. La 1ʳᵉ enquête de l'USAF conclut que le pilote a vu Vénus, qui était dans la direction de l'observation, mais un discussion ultérieure suggère qu'il s'agissait d'un ballon "Skyhook" de 100 pieds testé par la Marine U.S. (cette incertitude est typique des premières identifications d'ovnis, et led to greater USAF effort in Blue Book).
Newton, Illinois, le . Une femme et 5 enfants voient le lent passage d'un objet métallique past their farm home. Observing conditions were excellent, with clear, dry weather. The object was first seen by the children, ages four through nine years. The mother responded to the children's call and joined them in the yard, walking parallel with the object's motion. The object moved slowly and uniformly in a westerly direction, at walking speed, approximately 50 feet above the ground. Abruptly turning its nose up and moving rapidly upward, it disappeared from sight in 1 ou 2 s. An analysis of the reported sighting suggested a cigar-shaped spheroid approximately 20 feet long and eight feet in diameter, possibly of aluminum, with longitudinal seams, a small dorsal fin at the rear, and a rectangular, black aperture near the front. A brownish gold design was observed on the lower rear portion. The object was surrounded by a bluish haze that contained luminous bubbles or sparks. No sound was heard except for an unusual vibrating noise perceived for a few seconds when the object was nearest. Seventy minutes later, under dark-sky conditions, an elliptical blue light of the same colour and shape was seen moving in the same general direction by a witness seven miles from the first sighting.
Trementon, Utah, le . A Navy Chief Warrant Officer with his wife and two children was driving along State Highway 30 when they saw a group of strange white objects above the eastern horizon. The officer stopped the car, estimated that there were 12 to 14 of the objects, and photographed them for several minutes, using a 16-mm movie camera. He was sure that the UFOs were large objects at high altitude. Analysis of the film showed that they might have been sea gulls at 2000 pieds distance; at 50000 pieds they would have been moving at 300 miles per hour, executing maneouvers impossible for aircraft known in 1952.
Socorro, Nouveau-Mexique, le .
Un patrouilleur rapporte qu'à 18 h il observa une flamme bleue
à environ 2000 pieds au large de la nationale
7A. Il conduisit le long de la route d'une ferme jusqu'à moins de 200 pieds d'un objet hémisphérique de 20 pieds se
tenant sur 4 pieds près d'une cabane abandonnée où il pensa auparavant avoir vu 2 personnes vêtues de blanc. Alors
qu'il s'approchait, l'ovni décolla avec un fort rugissement, émettant apparemment un flamme à réaction bleue, et
grimpa dans une direction sud-ouest en s'éloignant de la nationale. Il n'y avait aucun autre témoin, bien que
l'observateur ait appelé de l'aide par radio lorsqu'il quitta la nationale. Après s'être remis de ses frayeurs,
l'observateur localisa 4 empreintes profondes dans le sol meuble là où il dit que l'ovni se tenait. Il y avait 2
empreintes plus petites où une échelle menait à une porte vue par l'observateur.
Nombre de ces observations ont été identifiées comme étant des planètes, étoiles brillantes, météores et avions. Certaines pourraient être expliquées par la réfraction de la lumière dans des couches d'air chaud à des centaines de pieds au-dessus de l'observateur, lui permettant de voir des lumières de surface haut dans le ciel.
Montgomery, Alabama, 24 juillet 1948, 2 h 45. Un pilote et un copilote dans le cockpit d'un avion de ligne à 5000 pieds d'altitude, en route de Houston pour Boston, virent un objet rouge mat approacher sur une trajectoire de collision. Durant les 10 s qui suivirent il vira légèrement sur la droite, dépassa l'avion sur la droite à haute vitesse, puis sembla tiré vers le haut, et disparût dans les nuages au-dessus. 1 passager sur le côté droit de l'avion aperçu la lumière brillante alors qu'elle fonça en un éclair. Il n'y eut aucune perturbation de l'avion. Les pilotes décrivirent l'objet comme ayant une forme de cigare, d'environ 100 pieds de long, avec 2 rangées de fenêtres éclairées, une lueur bleue sombre en-dessous, et une flamme de réaction rouge-orangée d'environ 50 pieds de long derrière lui. Ils estimèrent sa plus meilleure approche à moins de 1 mile. Les autorités conclurent que l'objet était probablement un météore au loin.
Dexter, Michigan, 21-22 mars 1966. Un fermier et plusieurs de ses amis signalèrent des lumières colorées qui
atterrirent dans un marais, où ils virent par la suite un objet en forme de pyramide
avec des lumières ondulant
mystérieusement sur sa surface dans l'obscurité. La nuit suivante, plusieurs filles d'une faculté voisine signalèrent
3 grandes lumières colorées se déplaçant en haut et en bas de manière "synchronisée", et 2 autres co-eds rapportèrent
avoir vu un disque luisant dans le marécage.
Les lumières ont été interprétées comme du gaz de marais luisant, ou des feux follets. Le méthane luisant faiblement comme des doigts est souvent vu bas sur le sol par des nuits humides, et il est bien connu résulter de la végétation en décomposition, mais son apparence ne correspondait pas aux grandes boules colorées vues "aterrir" dans le marais. Ce cas fut l'objet de larges satires dans la presse des U.S..
Le radar mesure la distance à un ovni et la direction, qui pourrait être affectée par le réfraction du rayon radio dans l'atmosphère. Plusieurs effets peuvent donner de faux échos radar : interférences électroniques, réflexions de couches ou nuages ionisés, et reflexions de régions de plus haute température ou humidité, comme dans un nuage cumulus. Une détection radar et une observation visuelle simultanées dans la même direction est l'indice le plus fiable - mais non certain - d'un objet physique.
Lakenheath, Angleterre, 13 août 1956, 23 h 00 - 3 h 30. 2 stations radar de la RAF détectent plusieurs objets se déplaçant à haute vitesse par une nuit claire moonlit. 1 est suivi par le 1er radar se déplaçant à environ 3000 miles/h vers l'ouest à 4000 pieds d'altitude ; simultanément, les opérateurs de la tour signalent une lumière brillante les survolant en direction en l'ouest, et le pilote d'un appareil à 4000 pieds au-dessus du terrain d'aviation vit la lumière brillante foncer sous lui. La 2nde station radar, alertée par la 1ʳᵉ, détecta une cible stationnaire à 20 000 pieds d'altitude environ qui partit soudain vers le nord à 600 miles/h. Elle fit plusieurs arrêts et virages soudains. Au bout de 30 mn un autre chasseur fut appelé et établit avec son radar embarqué des contacts avec l'objet au-dessus de Bedford (juste au nord de Cambridge, Angleterre). Soudain l'objet se déplaça autour sous l'avion de chasse, tous 2 étant suivis par le radar au sol. Le pilote du chasseur ne pouvait "secouer" l'objet. Un 2nd avion fut appelé mais n'établit jamais de contact, et tous les contacts radar furent perdus. Plusieurs autres cibles radar furent suivies dans la même zone et plusieurs autres petites lumières en mouvement furent vues, mais toutes disparurent à 3 h 30.
Ceci est considéré être l'un des cas inexpliqués les mieux établis et les plus intriguants.
Colorado Springs, Colorado, 13 mai 1967, 15 h 40. Le temps était couvert avec une pluie éparse et des averses de sleet et des bourrasques de vent. Alors qu'un avion de ligne arriva pour un atterrissage, le radar au sol détecta un objet au-delà de lui, à environ 2 fois sa distance. Alors que l'avion atterrissait, l'objet tira vers l'est et passa bas au-dessus de l'aéroport (à 200 pieds d'altitude et environ 1,5 miles de la tour de contrôle). Les opérateurs de la tour, alertés par l'exploitation du radar, ne virent ni n'entendirent rien. Le pilote d'un autre appareil, à 3 miles derrière le 1er, ne vit rien lorsqu'on lui demanda de regarder.
Celles-ci incluent des empreintes de pas décrites ci-dessus à Socorro (Nouveau-Mexique), des circular burned patches in fields, and melted patches in road pavement, possibly due to jet take-off. It is barely possible that strong magnetic fields or plasma clouds of ions produced by a UFO could affect the electrical components of an automobile.
Methuen, Massachusetts, 20 janvier 1967, après l'obscurité. 3 personnes conduisaient vers nord-est sur une rue bordée de bois, et de quelques maisons. Ils rapportèrent qu'en atteignant le sommet d'une colline ils tombèrent soudainement sur une chaîne droite de lumières rouges brillantes se déplaçant le long du bord de la route à une altitude de 500 à 600 pieds. Lorsqu'ils furent presque à côté des lumières, alors en vol stationnaire, l'objet auquel elles étaient apparemment attachées se balança pour révéler 4 lumières distinctes en un trapèze parfait. 2 lumières rouges formaient le sommet et 2 lumières blanches formaient la base. Les lumières rouges ressemblaient à une résistance chaude de four électrique. Un métal réfléchissant fut vu autour des lumières. Le centre du trapezoïde était sombre. Lorsque le conducteur se rangea sur le côté de la route directement à hauteur de l'objet, le moteur, les phares et la radio de sa voiture défaillirent complètement. Le conducteur tenta de redémarrer la voiture, mais sans succès. Aucun bruit ne fut entendu lorsque l'objet commeça à se déplacer lentement puis fonça au loin à grande vitesse en direction du sud-ouest. Le conducteur put alors démarrer la voiture, et les lumières et la radio fonctionnaient parfaitement.
Ubatuba, Sao Paulo, Brazil, 10 septembre 1957, 12 h. 3 pêcheurs voient un soucoupe volante plonger dans la mer à haute vitesse.
Juste avant d'atteindre la mer, elle fait un virage serré vers le haut et explose en milliers de fragments
flamboyants
. Les pêcheurs ramassent plusieurs de ces fragments, qui tombèrent sur la plage, et les envoyèrent
dans un lettre anonyme à un journal de Rio de Janeiro. Un laboratoire du gouvernement brésilien effectua une analyse
chimique et annonça que le métal était du magnesium d'une pureté plus élevée qu'atteignable par les techniques de
purification connues de l'homme
. Les impuretés détectées étaient du zinc, du strontium, et d'autres métaux sous
forme de traces totalisant 0,15 % environ. L'analyse, cependant, montra rapidement que du magnesium industriel aux
U.S. est encore plus pur (moins de 0,002 % d'impuretés). L'abondance de strontium était inhabituelle, cependant, et
pourrait conférer quelque poids à la déclaration que les fragments d'Ubatuba provenaient d'un véhicule spatial
extraterrestre.
Southern New Hampshire, 19 septembre 1961, 23 h à 2 h. Un couple rentrant à Boston via Lancaster et Concord voit un grand objet en forme de disque et se sent obligé de s'arrêter et de marcher vers lui. Leurs histoires, enregistrées séparément sous hypnose par un psychiatre de Boston en 1964, furent cohérentes et parlèrent de leur prise à bord de la soucoupe volante, leur déshabillage, et leur examen par un groupe d'humanoides. Par la sutie, des psychologues concluèrent que ce cas largement publié était une hallucination de la femme, transmise à son mari si thoroughly qu'il s'en "souvenait" comme quelque chose de réel, même sous hypnose.
En accord avec les conclusions et recommandations du from Rapport Condon de 1969, l'U.S. Air Force termina son étude des ovnis du Projet Blue Book en décembre 1969. Plusieurs groupes de scientifiques américains déclarèrent, néanmoins, que le phénomène ovni warrants further study; et des groupes dans d'autres pays poursuivent leurs études des ovnis. Ces études sont de 3 types :
Il est déclaré par de nombreux experts que les analyses détaillées de type 1 de données molles ne produiront pas de nouvelles informations, bien que certains scientifiques maintiennent qu'une observation exceptionnellement bonne pourrait arriver et mener à des conclusions significatives.
Il existe au moins 2 développements instrumentaux pouvant fournir des données solides pour des études de type 2 : les réseaux de photographies "plein ciel " et les caméras de TV dans les satellites artificiels. Le 1er de ceux-ci est typifié par le Réseau Météorite Prairie de 64 appareils photo automatisés en groupes de 4 à 16 stations espacées d'environ 140 miles (225 km) les unes des autres pour couvrir près de 500 000 miles2 (1 500 000 km2) du mid-ouest U.S. centré sur Steinauer (Nebraska). Ce réseau est exploité par l'Observatoire Astrophysique Smithsonian à Cambridge (Massachusetts), dans le but d'observer les météores et de localiser les météorites rapidement après leur impact. Chaque appareil photo est programmé pour faire 4 expositions de 3 h chaque nuit, et le film de 9X9-pouces (totalisant 3,6 acres/an) est rapidement scruté pour des pistes de météores pratiquement droites. A l'exception de 200 films environ utilisés en conjonction avec le rapport Condon pour vérifier les signalements d'ovnis, les films du Réseau Prairie n'ont pas été examinés pour y chercher des pistes irrégulières ou images d'ovnis, un travail qui nécessiterait au moins 30 personnes à plein temps.
Des appareils photos plein-ciel seuls, photographiant près de 80 ° depuis le zenith sur tous les côtés, sont utilisés pour des mesures de luminosité du ciel dans son ensemble mais n'ont pas une résolution suffisante pour détecter des ovnis. Un grand nombre fut exploité par une coopération internationale en 1957-1958, et 2 ou 3 sont exploités de manière continue en Tchecoslovaquie. Les canadiens ont commencé à exploiter un réseau pour les météorites semblable au Réseau Prairie en 1970, mais leurs films n'ont pas été scrutés à la recherche d'ovnis.
L'Administration Nationale de l'Aéronautique et de l'Espace opère plusieurs satellites artificiels équipés de caméras TV optiques qui envoient les données d'images par radio à des récepteurs basés au sol.
2 ensembles de satellites enregistrent les motifs de nuages pour les prédictions météo, et pourraient détecter des ovnis brillants et hauts. D'autres satellites optiques utilisés pour des observations astronomiques regardent vers l'extérieur et ont une très faible chance de détecte de petits objets. De la même manière, les télescopes utilisés par les astronomes aux observatoires tout autour du monde ont peu de chance de photographier un ovni qui passerait. 2 réseaux radar couvrant la plupart des Etats-Unis et du Canada sont opérés conjointement par les Administrations de l'Aviation U.S. et Canadienne (civilie) et par le Commandement (militaire) de la Défense Aérienne de l'Amérique du Nord. Ensemble, ils suivent chaque avion, ballon, fusée, satellite, ou autre objet en mouvement ; mais la tâche d'extraire des ovnis d'enregistrements à plein temps des millions d'autres objets suivis chaque jour nécessiterait un ordinateur coûteux et très spécifique. Il est probable que la plupart des cibles radar non associées à des appareils prévus, lancées de ballons connus, et envois connus de fusées seraient des orages, courants aériens, et autres phénomènes météorologues complexes ; et une recherche systématique d'ovnis nécessiterait des centaines de spécialistes météo.
Les études statistiques de type 3 pourraient être entreprises par des psychologues si les rapports d'ovnis remplis par le projet Blue Book ou d'autres groupes sont systématisés et enregistrés sur cartes perforées ou bande pour une utilisation dans un ordinateur électronique. La difficulté réside ici dans la large gamme et la nature incomplète des données molles sur les ovnis. Aucun des fichiers ne contient toutes les observations, et l'enregistrement de n'importe quelle des observations omet généralement plusieurs points significatifs pour les études sociologiques et psychologiques.
L'échantillon de plus de 12 000 observations est, cependant, suffisamment grand pour qu'au début des années 1970s des psychologues envisagent de trier les enregistrements en grandes catégories qui pourraient être corrigées statistiquement quant à leur incomplétude et utilisées pour étudier l'hystérie de masse, la contagion hystérique, et les causes possibles d'hallucination. Certaines des hallucinations associées aux signalements d'ovnis pourraient être liées à ce que l'on appelle le syndrome d'Isakower, dans lequel une personne drowsy visualise des scènes de son passé lointain, qui pourrait expliquer des apparitions et mauvaises identifications.
Les psychologues sont également intéressés par les émotions ofrtes soulevées par les ovnis chez les témoins qui les ont observés, le public qui a lu des choses à leur sujet, et les scientifiques qui évaluent les rapports. En plus de défendre la validité de leurs signalements, les témoins sont généralement quelque peu "secoués" par leurs observations, une réaction semblable à celles d'expériences religieuses. Les témoins, cependant, sont rarement actifs l'organisation de groupes d'études des ovnis ou la rédaction de livres et d'articles.
La réaction publique varie d'une curiosité excitée au ridicule. L'excitation est probablement liée à l'hypothèse extraterrestre, exemplifiée par le fort intérêt du public depuis 1900 pour la possibilité d'une vie intelligente sur Mars. Certaines des émotions pourraient dériver de croyances religieuses concernant la place de l'homme terrestre dans l'univers ou d'anciens mythes sur la the suprémacie d'anges sur les hommes ordinaires. Cela implique souvent une peur des visiteurs extraterrestres.
Les éléments concernant ces réactions psychologiques sont présentés dans les 50 livres et plus de 250 articles de magazines écrits aux U.S. sur les ovnis depuis que la 1ʳᵉ soucoupe volante a été signalée en 1947. L'intérêt du public U.S. fut indiqué par quelques 30 clubs et sociétés ufologiques qui bourgeonnèrent dans les années 1950s et 1960s. Il y eut des signes que cet intérêt public fut diminué suite à la publication du rapport Condon et la fin du Projet Blue Book en 1969. Le nombre d'articles de journaux sur les onvis déclina de manière significative à une fraction de son pic de 1966.
La réaction des physiciens a été centrée sur la réticence à changer leurs systèmes de croyance basés sur la physique et l'astronomie d'aujourd'hui. La question philosophique de base soulevée par les signalements d'ovnis est celle de la réalité. En raison de la variété troublante des indices et de la fiabilité douteuse de la plupart des signalements, il a été difficile d'appliquer les critères acceptés de la réalité physique aux ovnis eux-mêmes, mais le phénomène ovni psychologique est certainement réel.