À Lille, les enquêteurs croient plutôt à un phénomène d'électricité statique
Lille. — Parce qu'un différend opposait un locataire à son propriétaire, les traces (?) d'un ovni ont été découverte sur un toit.
Objet du litige : une toiture qui avait fondu partiellement sur environ 1 m2 et des poutres roussies.
Le locataire, M. témoin, occupant le dernier étage d'un immeuble de la rue Victor-Hugo, à Hellemmes, dans la banlieue de Lille (Nord) exigeait de son propriétaire qu'il fasse les réparations nécessaires.
Ledit propriétaire se fit tirer l'oreille, car il venait récemment d'y effectuer des travaux.
— Comment cette toiture a-t-elle bien pu fondre ? Se demanda-t-il.
Et c'est alors que M. témoin se souvint d'un étrange phénomène qu'il avait constaté durant la nuit du le , et dont furent également témoins 5 de ses voisins, qui n'avaient osé en parler de crainte d'être la risée du quartier.
Cette nuit-là, toutes ces personnes furent réveillées par un bruit ressemblant à un échappement d'air comprimé. Autre fait troublant : le matin, plusieurs automobilistes du quartier n'ont pu démarrer : leurs batteries, chargées à bloc la veille, étaient soudain à plat.
Les enquêteurs pensent que le phénomène est dû à un orage d'électricité statique. Ils ont ramassé des fragments de métal (qu'ils croient être du zinc fondu) et les ont envoyés pour analyse à Paris.