le Un homme d'affaires belge roule près de la frontière franco-belge. Ses phares s'éteignent
soudain. Son moteur s'arrête brusquement. Sa radio se tait. Le conducteur tire son frein à main et se range sur le
bas-côté. Il aperçoit alors dans un champ, à 150 m de là, un objet qui ressemble à un casque britannique (le fameux
"plat à barbe") et en voit sortir 2 petits êtres. Le plus petit, qui a des allures de Bibendum Michelin, porte un
casque rond. Il a des yeux étranges et une fente en guise de bouche. Le plus grand porte un uniforme, avec un casque
cubique et une ceinture. Quand le plus grand semble ouvrir la bouche, l'homme d'affaires sent un choc à la base de
son crâne et entend une sorte de son modulé. A cet instant, une voiture apparaît à l'horizon. Les 2 humanoïdes
s'éloignent rapidement en marchant, avec des gestes brusques et identiques, sans paraître gênés par la boue qui
recouvre le champ. D'après l'homme d'affaires, leurs jambes n'étaient que partiellement visibles.
le A Landivisiau-Saint Derrien (à quelques
km de la base aéronavale de Landivisiau, Bretagne), la nuit est tombée depuis 6 h. Un vent frais s'est levé dans la
soirée, accompagné d'un crachin persistant qui n'incitent pas à sortir. M. Jaffrès est en compagnie de son épouse et
de son beau-frère et s'apprêtent à se coucher lorsqu'une vive lumière attire leur attention. Cette lumière vive peut
être vue par la fenêtre, les volets n'étant pas encore fermés. Elle provient d'une "boule" 2 à 3 fois plus grosse
que la lune, et cette boule se situe juste en-dessous du plafond nuageux que M. Jaffrès situe à 1000 m environ. Le
vent souffle d'ouest en est. Cette boule descend à une vitesse assez vertigineuse et à la verticale. Puis, à 200-300
m d'altitude, il y a un ralentissement très net avant qu'elle ne vienne planer au-dessus de la prairie. Les témoins
restent environ 45 mn à observer ce curieux phénomène qui prend peu à peu une forme plus distincte, soit
cylindrique avec les 2 extrémités formées d'anneaux réguliers. La femme de M. Jaffrès et son beau-frère sont
particulièrement bouleversés par cette apparition à courte distance : moins de 300 m apparemment. Pour sa part, M.
Jaffrès est indécis sur l'attitude à adopter, n'ayant pas de pellicule dans son appareil photo et n'osant pas
m'approcher de l'objet par la route. Il prend finalement la décision de se rendre en bordure du champ pour en avoir
le cœur net sur la nature exacte du phénomène. Il saute donc dans sa voiture et prend la direction de la prairie.
Tout en conduisant, et s'étant sensiblement rapproché, il le voit nettement, étant à moins de 50 m de la voiture. Il
range la voiture, côté phares vers le champ, sur une route perpendiculaire à celui-ci. Malgré le temps pluvieux,
toute la zone couvrant le lieu-dit "Bellevue" est éclairé comme en plein jour, et le spectacle est impressionant. Il
reste ainsi dans la voiture une bonne dizaine de minutes, assistant à l'évolution du phénomène. Ce n'est qu'après un
moment de réflexion qu'il lui vient à l'idée de faire des appels de phare par curiosité. À chaque passage
codes-phares, le phénomène monte et descend, donnant l'impression d'un hélicoptère en difficulté ou en instabilité.
C'est alors qu'il a la certitude que les deux anneaux extrêmes tournent sur le cylindre métallique projetant
des étincelles et des flammèches de la couleur d'un flash blanc continuel. L'engin s'éloigne ensuite vers le poteau
électrique situé au centre de la parcelle. Il décide alors de sortir de la voiture et d'approcher le talus bordant
le champ. Le phénomène se déplace assez lentement par moments et beaucoup plus rapidement à d'autres moments. C'est
quand il revint vers M. Jaffrès que celui-ci ressent un bourdonnement continu ressemblant à celui d'un
ventilateur. M. Jaffrès ne pourrai pas donner d'explication sur la source de ce bruit. Le phénomène était alors
apparemment à moins de 20 m de lui. Malgré ceci M. Jaffrès n'a pas peur, mais devient subitement nerveux, parcouru
par des frissons et des picotements violents aux yeux. Avant de partir, il s'était muni d'un pistolet. Aucune
aspérité ou ouverture n'est visible et seule la forme décrite plus haut persiste, sans changement. M. Jaffrès
regagne son véhicule, une "204 peugeot", pensant que le l'engin va repartir. Il rentre à la maison. Bien
qu'ils soient couchés et que les volets étaient fermés, la lumière de l'objet est telle qu'ils ne peuvent dormir. Il
est maintenant 00:30. Ils restent donc à la fenêtre pour observer les multiples évolutions et ce qu'ils prennent
pour des tentatives de décollage, l'objet semblant avoir des difficultés pour effectuer cette manœuvre. La
situation ne change pas jusqu'à le du matin, heure à laquelle ils ont le temps de
regarder par la fenêtre pour voir la même boule que celle qui était sortie des nuages y entrer cette fois. Le
lendemain matin, M. Jaffrès se rend à nouveau sur place, dans la prairie, pour tenter de trouver d'éventuelles traces. Il remarque non seulement que l'herbe est couchée
par endroits, mais qu'une substance curieuse, noire, ayant l'aspect du fuel (mais qui n'est pas du fuel selon le
témoin) se trouve à même le sol. Il n'y a pas de trace de brûlure ni d'odeur particulière. Le témoin n'a
malheureusement pas pensé à récupérer des échantillons de ce liquide bizarre qui a disparu le lendemain n1Une enquête fera l'objet d'une communication interministérielle du cabinet du Ministre de la Défense Nationale au Ministère de la Recherche et de l'Industrie en 1976.s2Enquête de MM. Rémy Guéguen, Christian Sévère et Christian Choalers3Boedec, J.-F.: Fantastiques rencontres au bout du monde, pp. 48-53.
vers le À Berwyn Mountains (North Wales), des habitants
entendent un gros bang et voient une lumière dans le ciel au nord-ouest semblant tomber vers l'horizon. Une équipe
de sauvetage de RAF Valley à Anglesey est envoyée la nuit en question à la recherche
d'une épave sur le flanc de la montagne mais ne trouve rien s4Darren Devine: "Released files cast
light on famous Welsh ‘UFO’ sighting", Wales Online, 2013-03-28n2Le MoD
concluera à un météore, peut-être combiné à un tremblement de terre.