Des masses de personnes, dont 2 policiers de haute réputation, jurent que ce qu'ils ont vu sur une période de 2 semaines dans la région du New Hampshire - grand, silencieux et luisant - n'était en rien quelque chose que l'Air Force pourrait expliquer facilement
Un grand champ de 10 acres près de la ville de Nouvelle Angleterre de Exeter (New Hampshire), a été le théâtre des heures les plus fameuses du domaine des soucoupes volantes.
Comme relaté dans le palpitant livre de John G. Fuller, Incident à Exeter, il reste comme probablement le cas le mieux documenté - et le plus [tantalizing] - au sein du mystère croissant des observations d'ovnis.
Le fait que 2 policiers furent parmi les observateurs ne joue pas non plus en défaveur de l'authenticité du cas.
Pas plus que le fait que la localité de Nouvelle Angleterre n'est particulièrement connue pour les racontars d'histoires aux yeux ecarquillés.
Dans la nuit chaude et sans Lune du le , Norman Muscarello, alors 18 ans, déboule dans le poste de police de Exeter, encore tremblant de ce qu'il a vu, alors qu'il faisait de l'auto-stop pour rentrer chez lui à en du matin.
"La chose" était plus grande qu'une maison, dit-il au patrouilleur "Scratch" Toland, avec des lumières brilliantes et pulsantes autour. Elle flottait silencieusement vers lui. Plongeant depuis la route dans un petit fossé pour éviter l'objet qui arrivait, il observa, frappé de terreur. Puis il recula lentement jusqu'à avoir atteint une distance suffisante d'elle pour se relever et courrir.
Au même moment, le patrouilleur Eugene Bertrand, un vétéran de l'Air Force, roulait normalement lorsqu'il tomba sur une femme seule devant la roue de sa voiture à juste 3 km de Exeter. Encore très secouée, elle lui raconta comment un énorme objet aérien silencieux l'avait suivie sur 16 km, à seulement quelques pieds de distance de sa voiture. Lui aussi avait des lumières rouges brillantes et clignotantes. Lorsqu'elle atteint l'emjambement de la Route 101, l'ovni décolla à grande vitesse. L'officier Toland, rassemblant les deux histoires, demanda à Bertrand de retourner au champ libre avec le garçon.
Tandis que l'officier Bertrand faisait briller les lumières de sa sirène en direction de la ligne d'arbres, les
chevaux d'un corral voisin commencèrent à taper des sabots et geindre, et les chiens à mugir. Muscarello laisse alors
entendre un hurlement : Je le vois ! Je le vois !
Ce que Muscarello et un Bertrand effarés voient était alors un objet rond brillant s'élevant silencieusement
au-dessus des pins. D'un coup toute la zone était baignée d'une lumière rouge brillante alors que l'objet flottait
dans leur direction, toujours sans aucun bruit. Retournant en courir à la voiture de patrouille avec le garçon de peur
de radiation, Bertrand signale au poste, Mon dieu, je vois la maudite chose moi-même !
Quelques instants plus tard, le patrouilleur David Hunt arriva dans une autre voiture. Il avait entendu l'exclamation de Bertrand sur la radio et décidé d'aller voir par lui-même. Il sorti et observa les mouvements lents et basculants de l'objet toujours pulsant, se déplaçant lentement à travers les sommets des arbres et en direction de Hampton.
Dans la semaines qui suivirent, de nombreuses autres observations apparemment valides furent faites dans la région du New Hampshire. Aucune, cependant, ne fut plus vive que celle de Ron Smith.
L'ancien du lycée de 17 ans était dehors à conduire avec sa mère et sa tante lorsqu'ils repérèrent un objet dans le ciel. Il arrêta la voiture, regarda en l'air et vit quelque chose avec une lumière rouge au sommet et une lueur blanche à sa base. Elle passa à un moment au-dessus de la voiture, s'arrêta en l'air, puis retourna au-dessus de la voiture à nouveau et une 3ᵉ fois encore.
Secoué et effrayé, il commença par retourner au poste de police de Exeter pour signaler l'incident lorsque, comme il le dit à Fuller :
Je repris mes esprits. Je voulais y retourner pour être sûr qu'il était là. Pour le regarder une nouvelle fois pour être sûr que je ne voyais pas des choses. Nous y sommes retournés. Et avec certitude, il était toujours au même endroit. Il passa au-dessus de la voiture à un moment, et ce fut la dernière fois que je le vis.