le Par une nuit dégagée de tout nuage, observation d'un météore au-dessus de la Mer
du Nord, puis de la côte est de l'Écosse et de l'Angleterre ainsi que la Manche. Les analyses modernes des
observations indiqueront que le météore est entré dans l’atmosphère terrestre. Il s’est finalement brisé après avoir
voyagé dans l'atmosphère sur environ 1610 km, jusqu'au sud-est de la France ou au nord de l’Italie s1M. Beech: "The Great Meteor of 18 August 1783", Journal of the British Astronomical Association,
vol. 99, no 3, 1989, p. 103.
en
le Worson est un cordonnier vivant dans le Warwickshire (Angleterre). Ayant tendance à se vanter de sa capacité en tant que coureur
de fond, il est défié par 2 amis le marchand de tissu Barham Wise et le photographe Hamerson Burns, de courrir
64 km de Leamington à Coventry. Worson accepte et
commence à courir tandis que ses amis le suivent de près dans un chariot tiré par des chevaux. Worson court sans
problème pendant plusieurs miles, parlant même sur le chemin avec ses amis. Soudain, alors qu'il n'est à une
demi-douzaine de yards d'eux et, alors qu'ils ont leurs yeux fixés sur lui, Worson semble trébucher au milieu de
la route. Il tombe alors en avant et, alors qu'il chute, émet un horrible cri de terreur. Il disparaît alors
complètement. Burns et Wise cherchent frénétiquement, mais ne peuvent trouver une trace de leur ami qui semble
s'être évaporé dans l'air juste devant leurs yeux. Une recherche intensive ultérieure de la zone dégagea des
résultats similaires, et Corson ne fut plus jamais revu.
en
le À Poissy, plusieurs observateurs voient au nord, au-dessous
de la Grande Ourse, un "météore" d'abord immobile, puis qui se met en marche, s'approche de φ jusqu'à
la toucher, s'en éloigne en décrivant diverses oscillations et disparait à l'est après tous ces zigzags. M.
Vinot, qui en a reçu la description dans son Journal du Ciel, reçoit la confirmation de cette
observation ; le météore était rouge comme Marss2Flammarion, C.: Etudes et Lecture sur L'Astronomie, Tome 5, 1874, p. 159.
en
le M. et Mme Thomas B. Cumpston arrivent à Bristol
pour de courtes vacances. Ils restent à l'hôtel Victoria. Tôt dans la soirée, ils entendent des sons forts et
étranges dans leur chambre ou près d'elle. Ils s'en plaignent à la landlady, qui entend aussi les bruits, mais
ne sait quoi en dire. Après que les bruits ont cessé ils se retirent dans leur lit pour la luit, mais sont
réveillés vers le par les mêmes bruits, cette fois accompagnés de l'incroyable sensation
que le sol se dérobe sous eux. Le couple crie à l'aide et ne peut rien faire d'autre que remarquer combien leurs
cris sonnent étrangement, se répercutant bizarrement et répétés par des présences qu'ils ne voient pas. Le sol
s'ouvre alors et Cumpston sent qu'il est attiré à l'intérieur. Mme Cumpston parvient à le tirer dehors et tous 2
s'enfuient en hâte par une fenêtre proche. Ils sont paniqués au-delà de toute imagination et ont l'impression
confuse que des criminels ont comme essayé de les enlever. Ils volent jusqu'à la gare voisine où ils sont
bientôt arrêtés par la police locale pour trouble à l'ordre public. La landlady témoigne auprès de la police
avoir effectivement entendu les bruits inhabituels, mais ne s'en souvient pas de manière significative. La
police vérifie la chambre des Cumpston et ne trouve rien sortant de l'ordinaire. La cour conclut que les
Cumpston ont souffert d'une "hallucination collective" et les laisse partir.