le Dans le journal de l'Empire Le Pays, paraît un fort curieux article, intitulé Un
habitant de la planète Mars, signé Pour extrait. A. Lomon. A. Lomon (pseudo de de Parville ?) est à
l'époque un journaliste qui signe les dépêches internationales, en particulier ayant trait à la guerre de
Sécession. Cet article, qui ne pourra pas ne pas vous rappeler l'affaire de Roswell, relate la découverte, aux
États-Unis, près du Pic James, d'un aérolithe et de son occupant, provenant de la planète Mars. On peut
facilement imaginer l'effet que produisit cet article? Ce canular, présenté le plus sérieusement du monde et que
n'aurait pas désavoué Orson Welles, se prolongea pendant six mois, et aboutit finalement à la publication de
Un habitant de la planète Mars de Henri de Parville
en , aux éditions Hetzel. Ce
roman est le premier écrit "d'importance" concernant l'ufologie.
en
en
Un météore est observé à Leavenworth (Galena) en plusieurs parties ou
explosant.
Un météore est observé par le colonel Bonneville à Cincinnati.
James Lumley, un vieux trappeur de Rocky Mountain, part trapper dans les montagnes à environ 75 ou 100 miles au-dessus des grandes chutes du Haut Missouri, près de la
Passe de Cadotte. Peu après le coucher du Soleil un soir, il aperçoit un corps
brillamment éclairé dans le ciel, se déplaçant très rapidement vers l'Est. Il est parfaitement visible
durant au moins 5 s, puis se scinde subitement en plusieurs parties comme l'explosion d'une fusée en l'air.
Quelques minutes plus tard, il entend une forte explosion, qui ébranle la terre très distinctement, le tout
suivi peu après d'un fort grondement, comme si une tornade traversant la forêt. Un vent fort se lève à ce
moment, mais se calme tout aussi subitement. L'air est également rempli d'une odeur toute particulière, un
peu sulfureuse. Le jour suivant il découvre qu'à environ 2 miles de son lieu de campement, aussi loin qu'il
pouvait voir dans chaque direction, un chemin a été taillé dans la forêt, de plusieurs verges de large
— des arbres géants déracinés ou rompus à leur base — le sommet des colines rasé, et la terre
labourée en de nombreux endroits. Des ravages énormes et étendus sont visibles de toutes parts. En suivant
la trace de cette désolation, il trouve rapidement de son origine en observant la forme d'une immense pierre
envoyée sur le flanc d'une montagne. Un examen cette pierre, ou du moins de sa majeure partie visible,
montre qu'elle a été divisée en fragments, et que, à divers endroits, elle est marquée de curieux
hiéroglyphes. Lumley découvre également d'autres fragments d'une substance ressemblant à du verre, et ici et
là de tâches sombres, comme causées par un liquide. Il pense que les hiéroglyphes sont faits de mains
d'homme, et que la pierre elle-même, bien que fragment d'un corps immense, doit avoir été utilisée dans un
objectif quelconque d'entités animées s1"A
Strange Story - Remarkable Discovery", Missouri Democrat, 1865-10-19n1Variation du canard de Parville, voir le .
en
le Près de Florence (Italie), observation d'une boule de
feu étrange s2Baldelli (Mrs): "Large
Fireball", Astronomical Register, vol. 3 (1965), p. 53.
En Arizona, un groupe de touristes reçoit une pluie de grenouilles s3The Overland
Monthly < "Singular Showers", Daily
Whig de Quincy (Illinois), 1889-08-10.