en Dans le Languedoc s1Gazeta de Barcelona, dimanche 3 mai 1768, n° 18, p. 158 < "OVNI francès del 1768?", Papers d'OVNIs, Centro de Estudios Interplanetarios, CEI;
Barcelone, Espagne, n° 2, février 1994 < Russo, E.: "Languedoc (France), 1768", Magonia Exchange, 1768.
Mai
03-05 Au Japon, des cheveux blancs, de 11 à 55 pouces de long, tombent au-dessus de Kyoto et du pays environnant pendant 3 jourss2UFO Report, 12.77 / Brothers.
Juin
Owen Parfitt (70 ans) est un ancien tailleur de la petite ville anglaise de Shepton Mallet (comté de
Somerset). Il réside avec sa soeur Susannah dans une maison sur ce qui est, à cette époque, une route à péage
passante. Invalide, il est transporté par sa soeur et une autre femme plus jeune, Susannah Snook, en bas des
escaliers et placé dans une chaise à côté de la porte. Il est laissé seul là, avec son manteau sur le torse, sa
soeur étant montée et Snook rentrée chez elle. Quelques 15 mn plus tard, sa soeur entend un "bruit" et court
vite en bas de l'escalier. Elle trouve la chaise de Parfitt vide sous le manteau qui repose toujours là, mais
Parfitt n'est nulle part en vue. Une recherche en masse est menée, mais sans rien trouver. Le vieux Parfitt
était bien connu autour de Shepton Mallet, et si d'une manière ou d'une autre il avait miraculeusement réussi à
se lever de sa chaise, et tracer son chemin sur la route à péage, à coup sûr un des 3000 habitants de la ville
l'aurait remarqué. Parfitt ne fut plus jamais vu. 46 ans plus tard, un responsable local de Shepton Mallet,
William Maskell, avec quelques autres responsables, mena une nouvelle investigation sur la disparition de
Parfitt. Des témoins directs vivaient toujours, mais peu de nouvelles informations vinrent à la lumière. Un
témoin toujours vivant, Jehosaphat Stone, laissa un commentaire disant (après avoir dit que la chaise avait été
déplacée lorsque sa soeur redescendit : "Je connaissais bien Owen Parfitt. C'était un tailleur. De nombreuses
personnes autour d'ici à l'époque pensaient que Owen Parfitt avait été inspiré par des moyens surnaturels". En
1813 un local du nom de Thomas Henry Strode déterrera un squelette humain en faisant des modifications d'une
route. Il semblait être celui d'un vieil homme estropié, avec avait été jeté dans une cavité dans un mur de
pierre et recouvert, mais une enquête plus approfondie montra qu'il s'agissait du squelette d'une jeune femme.
D'autres enquêtes seront menées en 1814 et 1933 mais sans débouchés.
Septembre
Goethe (16 ans), se rend à l'université de Leipzig avec 2 passagers originaires de Francfort. La plus grande
partie du voyage se déroule sous la pluie et la voiture a parfois du mal à monter les côtes. Alors que les
voyageurs ont quitté leurs sièges pour marcher derrière les chevaux, le jeune homme remarque un objet étrange et
lumineux au niveau du sol : Soudain, dans un ravin à droite de la route, je vis une sorte d'amphitéâtre
merveilleusement illuminé. Dans un espace en forme de tuyau brillaient un nombre incalculable de petites
lumières posées comme des marches les unes sur les autres ; et elles brillaient si fort que l'œil en était
ébloui. Mais ce qui troublait le plus dans cette vision, c'était que les lumières n'étaient pas fixes, elles
sautaient de-ci, de-là, allaient de haut en bas et vice versa, dans toutes les directions. Le plus grand
nombre d'entre elles, pourtant, restaient stables, et rayonnaient. C'est avec le plus grand secret que je
consentis, lorsqu'on m'appela, à m'écarter de ce spectacle que j'aurais bien désiré examiner de plus près...
Reste à savoir si cela était un pandémonium de farfadets ou une assemblée de créatures lumineuses ; je ne
saurais déciders36ᵉ livre de son autobiographie selon Kenneth Anger, réalisateur
de cinéma et savant occultiste < Vallée, J.: Chroniques des apparitions extraterrestres, J'ai Lu,
1974, pp. 27-28s4Jacques Scornaux & Christiane Piens : À la recherche des OVNI, Marabout, 1976, p.181.