Sider naît en . Il travaille dans les Chemins de Fer.
Lors de la vague de en , il s'intéresse au phénomène ovni et fait lui-même une observation cette année-là.
en il part comme militaire en Algérie. Là-bas il n'entend jamais parler d'ovnis, y compris après avoir été rendu à la vie civile peu avant l'indépendance de en . Il rentre en France en , découvrant alors le retard qu'il a à rattraper en ufologie s2Sider, J.: "1947 aux Etats-Unis", LDLN n° 430, 2017-12.
Il collabore par la suite à LDLN, Parasciences et Transcommunication, Inforespace, le MUFON UFO Journal et Top Secret.
A partir de en , Sider s'intéresse au phénomène des mutilations animales, concluant qu'une dissimulation gouvernementale est à l'œuvre s3Sider, J.: "Mutilations animales - Les preuves du Cover-Up", LDLN n° 273-247, mars/avril 1987.
Concernant l'atterrissage de Forbach cette année-là, Sider écrira en au Ministère de la Défense ainsi qu'à la Direction Générale de la Gendarmerie Nationale qui lui répondront que le dossier est classé confidentiel pour 60 ans.
Pendant 10 ans, Sider va défendre l'HET, puis, considérant le phénomène trop complexe et trop incohérent avec cette explication, il développe une théorie associable à l'HPN, dont la vocation est l'unification d'un ensemble des phénomènes paranormaux (ovnis, esprits des morts, poltergeist, etc.), où l'ufologie fait place à une "mixologie". Comme Rémy Chauvin, il va finir par remettre en cause la théorie de l'évolution au profit de la panspermie dirigée : une intelligence non-humaine (des "entités" plus énergétiques, fluidiques, multi-formes qu'extra-terrestres au sens classique du terme) aurait répandu la vie sur Terre pour l'exploiter d'une façon ou d'une autre et continuerait à berner les témoins d'ovnis ou enlevés pour leur faire croire à l'HET. On décrit parfois cette idée comme l'hypothèse diabolique.
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