L'Aerial Phenomena Research Organization est association de recherche sur les phénomènes aériens fondée en en par Coral E. Lorenzen et James L. Lorenzen dans le but de mettre en place des correspondances, de recenser et de centraliser les informations sur les cas d'ovnis. Ce mois-là, Coral E. Lorenzen écrit à toutes les personnes qu'elle a rencontrées au cours des années précédentes pour les informer de son projet. 50 personnes répondent, dont plusieurs de Sturgeon Bay.
Le premier "bureau" de l'APRO est une antique table à pieds de griffon dans le salon des Lorenzen. Leur seul équipement est une machine à écrire portative et des boîtes à fiches dans lesquelles ils rangent les cas. James est actif dans l'organisation, mais pas autant qu'il le voudrait, en raison de la nature de son travail.
Leur premier cas conséquent est celui du en , au comté de Door, dans la Péninsule du Wisconsin, ou des centaines de personnes, dont Coral, voient un ovni pendant une durée considérable. L'observation ne pourra être expliquée.
en , Coral rédige le 1er bulletin de l'APRO, bimensuel,
qui paraît en (pages 1, 2, 3,
4, 5,
6, 7,
8, 9,
10). Un des membres locaux dispose d'une machine miméographe,
la seule méthode pour imprimer le bulletin dans ses premières années. Mais juillet est aussi la date d'une des plus
grandes vagues d'observations : Les choses étaient plutôt agitées à l'Eté 1952
lorsque la "vague" nous frappa en juillet
, racontera Coral. La masse
de courrier était hallucinante. C'était une période où des soucoupes volantes étaient vues presque chaque soir
au-dessus de Washington (D.C.).
en American magazine publie un article d'une page sur l'APRO et le mot commence à passer
qu'une organisation civile recense et enquête sur les observations. Les objectifs de l'association, clairement
affichés, sont de promouvoir l'existence réelle des soucoupes considérées comme véhicules interplanétaires
ainsi que le contact avec les êtres qui les pilotent. C'est sans doute cette attitude qui amène la Commission Robertson à la mettre sous surveillance cette année-là,
probablement en la faisant infiltrer par la CIA. Des gens arrivant avec leurs témoignages d'objets aériens étranges,
d'incidents remontant parfois à des dizaines d'années, Coral commence à
considérer l'aspect répétitif du phénomène ovni. Ils semblent suivre les côtes, rivières, structures naturelles, et
survoler des sites stratégiques.
en intervient une 1ʳᵉ concentration d'observations en Amérique du Sud. Joseph Rolas, un jeune
Vénézuélien qui a entendu parler de l'APRO, rejoint l'association et commence à lui envoyer des informations de son
pays. Il est rapidement rejoint par Horacio Ganteaume Gonzalez, qui enquête sur les cas publiés dans les journaux
vénézuéliens. Nous eûmes de la chance d'avoir ces 2 hommes, car ils parlaient anglais couramment et il n'était donc
pas nécessaire de traduire les rapports,
commenta Coral, et l'APRO commença à démarrer au
niveau international.
À cette époque l'APRO compte près de 750 membres. L'activité avait été assez dure. La plupart du temps les 3 $/an
de cotisation des membres ne couvraient pas complètement les coûts d'organisation. De nombreuses fois, j'ai dû fournir
un rouleau de timbres juste pour permettre au courrier de continuer.
À Alamogordo les Lorenzens recrutent plusieurs personnes du coin impliquées dans divers domaines techniques et des volontaires aidant à gérer la charge de travail au bureau. En 1956, Coral quitte Holloman, et ils achètent une nouvelle maison.
Les Lorenzen veulent attirer les scientifiques. Un jour Coral lit un article au sujet de Frank B. Salisbury, qui expérimente la croissance de diverses plantes sous atmosphère et conditions du sol contrôlées pour simuler celles qui sont imaginées pour Mars. Elle lui écrit et lui fait parvenir une copie de son livre. Quelques jours plus tard, elle reçoit un appel de sa part : il a reçu et lu son livre et souhaite s'impliquer dans le domaine des ovnis. Il recommande l'APRO à son collègue James A. Harder, qui rejoint également l'association.
en ils convertissent leur garage en bureau pour l'APRO. Au Printemps, Olavo T. Fontès rejoint l'association, qui fait grossir les dossiers brésiliens de l'association avec divers cas des années 1950s.
Une nouvelle vague arrive à l'automne et l'APRO et les Lorenzen sont prêts. Eh bien, aussi prêts que chacun
l'était, je suppose
, dira-t-elle. Après cette vague les choses se calment. Un flux de cas arrive aux Q.-G de
l'organisation, mais rien de comparables aux "vagues" de en et en .
en , James Lorenzen accepte un emploi d'associé technique à l'Observatoire National de Kitt Peak à Tucson (Arizona). Coral écrit dans un livre : Les activités
[des ovnis] indiquent que la Terre a
été le sujet d'une étude géographique, écologique et biologique accompagnée d'une reconnaissance militaire des
défenses terrestres du monde entier.
en , James et Coral enquêtent sur le cas de Socorro : Jim et moi avions enquêté
personnellement dessus et connaissions les faits. Nous fûmes les premiers enquêteurs sur les lieux et nous avions même
battu l'Air Force de plusieurs heures.
C'est aussi la période où Wendelle C. Stevens
les rejoint à Tucson comme directeur des enquêtes.
Coral souffre d'une blessure au dos, et James prend en charge les fonctions de directeur et Coral tient le bureau de secrétaire-trésorière, et tous deux sont membres du comité des directeurs.
en les observations s'accélèrent, mais les Lorenzen n'ont plus leurs relations comme à Alamogordo.
Ce fut comme si l'APRO recommençait de zéro
, déclarera James. Réétablir
un rapport avec les journaux, la radio et la télévision ne fut pas facile. L'Arizona est un état très conservateur sur
bien des sujets et au début des années 1960s les ovnis font partie des sujets délicats.
À l'Automne en , les Lorenzen décident de prendre des vacances nécessaires et prennent contact avec les représentants de l'APRO en Amérique du Sud. Leur voyage de en les amène à Caracas (Vénézuela) pendant 30 jours de la vague qui s'y produit, et qui a commencé juste après le tremblement de terre de en et finit juste en . En tout, les Lorenzens visitent 5 villes d'Amérique du Sud : Lima (Pérou), Santiago (Chili), où ils sont chaque fois très bien reçus, puis Buenos Aires (Argentine), où ils ont la chance de rencontrer et rendre visite au capitaine Omar Pagani de la Marine argentine qui est, à l'époque, responsable de l'unité d'enquête sur les ovnis de la Marine. Il emmène les Lorenzens au Ministère de la Marine où ils sont autorisés à examiner les dossiers. Ils sont aussi impressionnés par la qualité des enquêtes menées par Pagani que par les cas eux-mêmes. Ils arrivent ensuite à Rio de Janeiro (Brésil), chez la famille Fontès - un haut point du voyage, qui leur a rendu visite 3 fois dans les années 1960s. C'est une aventure de voir Rio et de parler en longueur de leur sujet favori. Le dernier arrêt est Caracas (Vénézuela), où M. Rolas et Melle Gonzalez les tiennent au courant des derniers cas du pays.
en est aussi une année où l'accroissement des signalements d'ovnis et la pression populaire engendrée
poussent l'USAF passe un contrat avec l'Université du Colorado à Boulder pour entreprendre une étude scientifique du
phénomène ovni. Nous coopérâmes de toutes les manières que nous pûmes, y compris la copie de 250 de nos meilleurs
rapports à soumettre au projet
, racontera Coral. Mais nous n'essayâmes
pas de les influencer de quelque manière que ce soit ; nous voulions voir une étude complètement objective
.
À l'Automne en , l'APRO devient une société, APRO Inc.
À leur retour aux USA, ils ont accumulé suffisamment de données pour un autre livre et en la New Americain Library publie sous l'impression Signet UFOs Over the Americas, qui concentre les cas d'ovnis dans l'hémisphère ouest.
L'année suivante 2 choses affectent l'APRO de manière considérable. Fontès meurt en mai. La perte est grande, aussi bien personnellement que professionellement, les familles Lorenzen et Fontès ont grandi ensemble et le médecin a été une partie inestimable du contigent en Amérique du Sud de l'APRO aussi bien qu'un conseiller.
en le représentant péruvien de l'APRO, J. Richard Greenwell, déménage à Tucson et devient le 1er employé à plein temps de l'APRO, et adjoint de James Lorenzen. Durant les années de l'existence du "Comité Condon" à l'Université du Colorado les chercheurs sur les ovnis gagnent quelque respectabilité et à travers les ouvrages des Lorenzens l'organisation prospère et devient connue de par le monde.
À la clôture du projet Condon en , les Lorenzens ne sont pas
surpris, mais très déçus. En particulier lorsqu'il s'agissait de notre partie
, dira James. Dans le rapport
officiel publié en couverture souple par Bantam Books, le rapport indique qu'aucune étude officielle des ovnis n'a
été menée en Amérique du Sud. C'est tout simplement faux. Lorsque Coral et moi revinrent à Tucson depuis l'Amérique
du Sud, on nous demanda de venir et Boulder et briefer la commission, ce que nous fîmes. Nous leur racontâmes notre
rencontre avec le capitaine Pagani, et leur montrèrent un magazine de Buenos Aires contenant un récit sur Pagani et
son projet. À un moment durant le briefing de 2 h le magazine disparût et nous ne le revîmes jamais
.
en l'APRO reçoit le status d'exonéré d'impôts de l'Internal Revenue Service. Pour
la 1ʳᵉ fois en 18 ans, elle n'est plus située dans la maison des Lorenzen. Depuis 1956 il avait été nécessaire de
mettre de côté une pièce pour les archives de l'organisation et lorsque le déménagement fut enfin fait, ce fut dans
une pièce de bureau d'un petit bâtiment à 3/4 de mile de chez les Lorenzen. Ce n'était pas l'espace de bureau le
plus désirable. C'était froid en Hiver et chaud en Eté
, dit Coral. Mais c'était tout ce que nous pouvions
nous permettre à l'époque. Alors en lorsque le propriétaire augmenta le loyer d'un vigoureux 20
$/mois, nous nous sommes mis à la recherche d'un autre bureau. Nous avons trouvé le lieu idéal dans un petit
bâtiment à côté du bureau immobilier et l'avons loué pour un peu plus du prix que nous avions payé pour l'ancien
lieu qui n'était pas adéquat
. À cette époque, Greenwall, en raison de pressions financières, démissionne de son
poste de directeur adjoint ; cependant, il reste membre de l'APRO et fournit son expertise de traducteur espagnol
lorsqu'on en a besoin. Le lieu est idéal et les perspectives de l'APRO sont brillantes. Quand arrive la vague de
en l'équipe au bureau de l'APRO est prête. Le bureau est présidé de lundi à vendredi par Melle Sheila
Kudrle, une jeune femme capable. La gestion des membres et des adhésions est traitée par Melle Madeleine Cooper qui, 2
fois/semaine, en faisant des courses au centre-ville, récupère les journaux et fait son travail chez elle sur la base
du volontariat. Melle Elizabeth Darr passe plusieurs heures chaque samedi au bureau afin que les visiteurs puissent
être accompagnés les weekends. Elle et Melle Kudrle sont les seules employées rémunérées. James et Coral travaillent
tous deux hors de leur maison qui reste l'adresse postale pour l'organisation. Nous recevons beaucoup de courriers
contenant des chèques, des mandats et parfois du liquide. Avec l'augmentation du courrier volé, nous avons pensé
judicieux de faire venir le courrier à notre adresse
, expliquera Coral.
James supervise les efforts des représentants locaux dans 47 pays, ainsi que la coordination des travaux du Panel de Conseil Scientifique composé de scientifiques en 4 grandes catégories : sciences biologiques, sciences médicales, sciences physiques et sciences sociales. Coral conserve les comptes de l'organisation, édite le périodique mensuel et dirige les enquêtes. Le réseau d'enquêteurs sur le terrain de l'APRO, instituté dès en , consiste en 750 individus volontaires pour chasser et enquêter les signalements d'ovnis. Une extension du téléphone du bureau est située chez les Lorenzen pour faciliter un signalement 24 h/24, par des membres comme des enquêteurs sur le terrain.
Les derniers 23 ans 1/2 ont été une longue et difficile route
, confie Lorenzen, mais nous sommes à un
tournant. Chaque fois qu'une concentration de rapports prend place, les gens savent qui appeler. Alors qu'il y a des
années de cela, nous dépendions de coupures de presse pour le contenu du Bulletin, nous donnons aujourd'hui les
rapports précautionneusement documentés récoltés par des enquêteurs sur le terrain compétents.
Notre périodique mensuel, l'APRO Bulletin, n'est pas que le produit de nos efforts. En ce moment, notre directeur
des relations publiques, Hal Starr, distribue des bandes audio des derniers cas d'ovnis et de commentaires pertinents
aux stations de radio abonnées des USA et du Canada. Des consultants et enseignants parmi les membres répondent au
nombre submergeant de demandes d'information à utiliser pour enseigner le sujet, et sont engagés dans le projet de les
rassembler dans un guide pour instructeurs intéressés à enseigner les ovnis.
Ce ne sera pas une tentative de
promulger des "faits" dogmatiques sur les soucoupes volantes, mais plutôt d'utiliser le sujet avec ses nombreuses
facettes périphériques pour promouvoir la réflexion critique,
confie Coral.
À West Grape Drive occupée au Nord-Est de Tucson, chaque jour de la semaine des volontaires postent des cas, remplissent, etc. dans une atmosphère amicale, mais travailleuse. Chaque mois, lorsqu'il est temps d'envoyer les plus de 3500 Bulletins aux membres, une foule de 12 à 20 volontaires se montrent au bureau après dîner et commence la tâche de pliage, timbrage et empaquetage. À l'arrière du bureau une grande urne de café et de beignets frais attend les travailleurs lorsqu'ils sentent qu'ils ont besoin d'un en-cas.
L'APRO compte plus de 45 conseillers scientifiques dans le monde entier, dont Fontès au Brésil, qui récupéra plusieurs débris d'un crash d'ovni près de la plage d'Ubatuba le 12 septembre 1957, Bruce Sargent Maccabee, Ronald Leo Sprinkle, James A. Harder ou David R. Saunders.
L'APRO a enquêté sur de nombreux cas, dont celui de :
En fait, dit Coral,
nous sommes sur la bonne voie pour déterminer le poids approximatif de l'objet qui a atterri à Socorro (Nouveau-Mexique) le . Jim et moi avons enquêté personnellement sur ce cas, obtenu les mesures, arrangement et profondeur des impressions, et les échantillons de sol récemment obtenus sont maintenant dans les mains de M. Martin. Je pense que les résultats de ces tests mettront à plat une fois pour toutes les rumeurs selon lesquelles le cas de Socorro était un canular ou le résultat d'un phénomène naturel.
Jim était à l'extérieur pour un rendez-vous de travail, se souvient Coral.
Vers 10:00 le 12 octobre, j'ai reçu un appel de Louis Daugherty, un membre du comité de direction de l'APRO, qui avait entendu à la radio un rapport de l'événement et qui nota les noms. Cela lui a semblé légitime et il a alors immédiatement passé un appel au bureau des sheriffs à Pascagoula. Après avoir parlé avec un adjoint pendant 5 mn environ, j'ai été impressionné par ses réactions aux déclarations de Hickson et Parker et ai décidé de consulrer le docteur James A. Harder, directeur de recherches à l'APRO. Je voulais avoir un physicien ou un ingénieur ainsi qu'un psychologue immédiatement sur les lieux, le dernier pour utiliser l'hypnose pour obtenir toute information qui pourrait avoir été oubliée ou refoulée.(...)
Aucun de nos psychiatres ou psychologues ne put faire le voyage à cette époque, et j'ai donc passé un appel au docteur Harder. Je me suis souvenue qu'il était un hypnoticien certifié et il correspondait donc exactement au besoin. Quelques minutes après que j'ai raccroché, il rappela pour me donner son planning. Il était sur un vol à 13:25 cet après-midi-là et sur samedi, le 13 il appela avec son rapport initial. Le reste est de l'histoire.
L'APRO rédige Procédures recommandées pour les enquêteurs sur le terrain
, un guide imprimé de 20 pages qui
décrit les méthodes suggérées pour l'enquête sur les signalements d'ovnis.
Un rapport est produit d'une manière parmi de nombreuses autres. À l'automne en les Q.-G de l'APRO fournissent aux enquêteurs sur le terrain des autocollants portant les nom et adresse de l'APRO qu'ils distribuent dans les bureaux des forces de l'ordre l'état, du comté et de la ville, les stations de radio et télévision, les bureaux de journaux, les aéroports et les observatoires dans toute l'Amérique du Nord. Ces autocollants portent le numéro de téléphone de l'enquêteur sur le terrain local responsable de la vérification des rapports reçus de sources locales.
Lorsque a tip arrive directement au Q.-G, Coral choisit un enquêteur sur le terrain parmi plus de 750 dans les fichiers et le ou la prévient par lettre par avion ou téléphone, en fonction de l'urgence du rapport. Utilisant ses procédures recommandées et le formulaire détaillé de signalement d'ovni, l'enquêteur interroge le(s) témoin(s), recolte les indices physiques disponibles et transmet les formulaires complétés et autres éléments au Q.-G.
Les rapports sont examinés par les Lorenzens, puis transmis au consultant scientifique spécifique dont l'expertise est requise. L'ensemble des rapports finit par revenir au Q.-G de l'APRO pour être classé. Finalement, les résultats finaux de l'enquête sont publiés dans le périodique mensuel de l'organisation, l'APRO Bulletin.
en les efforts de l'organisation sont financés par les 8 $/an de cotisations, payés par les 3500 membres. Cette année-là font partie de l'APRO :
Equipe | directeur international | ||
---|---|---|---|
secrétaire-trésorière |
|
||
directeur de recherche |
|
||
relations publiques |
|
||
secrétaire des adhésions |
|
||
bibliothécaire de l'équipe |
|
||
office manager |
|
||
Panels de conseil | Sciences biologiques | Anatomie |
|
Biochimie |
|
||
Biophysique |
|
||
Botanique |
|
||
Exobiologie |
|
||
Microbiologie |
|
||
Physiologie |
|
||
Zoologie |
|
||
Sciences médicales | Médecine |
|
|
Psychiatrie |
|
||
Sciences physiques | Physique des radiations |
|
|
Seismologie |
|
||
Aéronautique |
|
||
Astronomie |
|
||
Astrophysique |
|
||
Ingéniérie civile |
|
||
Informatique |
|
||
Ingéniérie électrique |
|
||
Géochimie |
|
||
Géologie |
|
||
Ingéniérie mécanique |
|
||
Métallurgie |
|
||
Océanographie |
|
||
Optique |
|
||
Physique |
|
||
Sciences sociales | Histoire |
|
|
Linguistique |
|
||
Philosophie |
|
||
Psychologie |
|
||
Représentants dans le monde | Afrique du Sud |
|
|
Espagne |
|
||
Singapour |
|
||
Suède |
|
||
Suisse |
|
||
Taiwan |
|
||
Tasmanie |
|
||
Trinidad |
|
||
Turquie |
|
||
Venezuela |
|
||
Yougoslavie |
|
||
Argentine |
|
||
Australie |
|
||
Belgique |
|
||
Bolivie |
|
||
Brésil |
|
||
Grande Bretagne |
|
||
Ceylan |
|
||
Chili |
|
||
Colombie |
|
||
Costa Rica |
|
||
Cuba |
|
||
Tchécoslovaquie |
|
||
Danemark |
|
||
République Dominicaine |
|
||
Equateur |
|
||
Finlande |
|
||
France |
|
||
Allemagne |
|
||
Grèce |
|
||
Guatemala |
|
||
Hollande/Pays bas |
|
||
Honduras |
|
||
Irelande |
|
||
Italie |
|
||
Japon |
|
||
Liban |
|
||
Malte |
|
||
Mexique |
|
||
Nouvelle-Guinée |
|
||
Nouvelle Zélande |
|
||
Norvège |
|
||
Pérou |
|
||
Puerto Rico |
|
||
République des Philippines |
|
||
Roumanie |
|
||
Sierra Leone |
|
||
Membres | New York |
en James prête un échantillon du crash
d'Ubatuba à un homme écrivant des articles sur les ovnis. en l'APRO travaille avec un physicien
sur un fragment du crash d'Ubatuba. Nous avons de très
bons résultats
indique Coral Lorenzen mais a besoin du fragment prêté pour confirmer ses résultats, mais la
personne dit l'avoir retourné à l'APRO peut après étudié. Elle appelle Barrow pour l'aider
à retrouver ce fragment, sans succès.
en , l'APRO compte environ 3000 membres.
3910 E Kleindale RoadElle cesse ses activités en 1988.
Références :